_, DE HENRI (M7 personne en la ville de Sain ct—Brieuc, au xv11° jour du mois de oc- tobre prochain, avec les autres qui y seront semblablement appellez, ` pour y assister et comparoir : et mlasseurant que niyi vouldries avoir lailly, tant pour l'a[l’ection que portes à mon service que pour le bien i` et utilité des dicts pays, je prieray Dieu qu’il vous ayt, _ mon Cousin, en sa saincte garde. Escript à St-Germain, le vf jour de aoust iôog. d i ‘ HENRY. ` I POT1En. i. [1602.] — 7 AOÈT. Orig. autographe. # Musée Britannique. Mss.‘Egerton, vol. 5, fol. 1 x 8. Transcription de M. Delpit. ` ~ Cop. — Archives de M. de la Force. ' Imprimé. -- Mémoires de la Force, publiés par le marquis de LA GRANGE, t. I, p. 335. I [A M. DE LA FORCE.} I _ Mons' de la Force, .l’a_y entendu par Lomenie ce que vous luy aves escript par Franchemont 1, auquel jlay commandé de vous aller re- trouver en diligence, tant pour vous asseurer de la continuation de mon amitie, que vous dire que je seray tres aise que,, me liant de vous et vous aimant, vous ne manquies de vous rendre pres de moy au com- mencement de vostre quartier, sans que vous ayes opinion que, pour la mort du feu duc de Biron, vostre beau-frere, je vous croye aultre que vous aves esté avant sa mort. J e vous ay plus plainct que luy, qui sçay que, s’il vous eust communiquelses mechans desseings contre moy et mon Estat, vous eussies tasche de l’en detourner, ou ne le pouvant m’en eussies adverty, ailin dly pourveoir. De peur, de vous en renouveler la douleur, je ne vous en diray que ce mot, sinon qu’il est mort, advouant qu’il la meritoit bien, mais ne m’ayant jamais voulu demander pardon, ny nommer ses complices, ny mesmes prier’Dieu ; et je crois aussy qu’il ne le sçavoit, comme il l’a advoue à ses confes- " Secretaire de M. de la Force. b
