I DE HENRI IV. 253 . estime y estre interessée. Excusés donc doucement le dict s' de Vitry de ce vo a e, et le faictes de fa on ue le dict ro en demeure con- _ Y É 9 (I Y tent et ne s'en prenne au dict s" de Vitry ny à autre chose qu’au beso1n extresme que _j’ay de sa personne à ma suitte, tant que le service de sa charge l’y oblige. .... . [IGOZL.] — 13 wmv. ` Imprimé. 4 (Economies royales, édit. orig. t. II, chap. 32. [A M. DE ROSNY.] 1 Mon amy, La sullisance du s‘" de Masses, qui vous rendra ceste-cy ~ de ma part, fera qu’elle en sera plus courte. Je me contenteray par icelle de vous asseurer de la continuation de ma bonne volonté, de la uelle ie vous tesmoi era les eH’ects aux occasions i s’en oHi*i— (I J ar Y (lu ront, et que Je seray tres aise d’entendre de vos nouvelles et ce que vous aurés appris en vostre voyage important à mon service. A Dieu, mon amy. Ce x11_]“ juin, à_ S‘—Germain en.Laye.`
l60l1. — 21 JUIN. J Imprimé. — œconomies royales, édit. orig. t. II, chap. lin. _ [A M. DE BOSNY.] Mon amy, Je ne vous ay point escript despuis vostre partement, tant pour ce qu’il ne s’est rien- passé dont il me fust besoin de vous tenir adverty, que pour avoir commandé au s' de Villeroy de vous informer _ amplement des affaires generales, et surtout des estrangeres, et encore presentement ne vous escrivé-je rien de particulier, m’en remettant au dict s' de Villeroy, et à ce que vous en dira Escures de ma part (n'ayant rien voulu lier au papier), que jlenvoye expressement vers vous dans trois ou uatre 'ours, allin de vous donner co oissance de (I J ai ‘ Cette lettre et les trois suivantes étaient de la main du Boi.
