Cousin, VOUS £1VOl1‘ 611 sa saincte garde. ESCl’lPll Èl FOI1t£iil1€l)l€2lU, C6 xv1_]° aoust IOOÀ.
DE NEUFVILLE.
[1608]- 18 Août. — Im.
Orig. autograplxc. — Biblioth. impér. de Saint-Pétersbourg, Mss. 887, lettre 82. Copie transmise par M. Allier.
A MONSR DE BELLIEVBE,
CHANCELLIER on FRANCE.
MO1]Sr le chancellier, JG VOUS fais €11COI‘€ Cleïeclleli CO mot GD l`&VCI.lI` de lsaac Suret, apotycquaire, valet de chambre et distillateur de leue n1a Sœur unique la duchesse de Bar 1, POUI VOUS (lire que, SUÃVZIIH CO que je VOUS ay Cy-d€V3.I’llZ escript, je veulx et (l€SiI’O (IUC VOUS scelliés les lettres de declaration que je luy ay laict expedier pour la jouissance des privileges de tout temps accordez par les Roys mes prede- COSSOUPS et mOy tant à lOU1‘S OlliCl€:I‘S que à C€U.lX des princes du sang, et ce nonobstant les empeschemens que pourroient faire les mais- tres apotycquaires de n1a ville de Paris, auxquels je vous prie de 11’ZlVOlI` aUCUI1 CSgaI‘Cl, et VOUS f€I`(lS CH cela chose qui me Sem ttes agreable. Sur ce Dieu vous ayt, Mons’ le chancelier, en sa saincte et digne arde. Ce xv11 ° aoust, à Fontainebleau.
160lL. — 18 Août. ~— Ilm.
Imprimé.- (Economies royales, édit. orig. t. Il, chap. (il :.
[A M. DE ROSNY.] `
Mon Cousin, Je vous renvoye le s’ de la Vallee avec les depesches qu’il 11], il apportées sur ce qui s’est passé a Craon ; vous les verres et
’ V0 *ez ci dessus la lettre du [1 août.
