. DE HENRI IV. Mtl prit et par rencontre, que par deliberation premeditée. Et jespere que l’Eglise de Dieu et toute la republique chrestienne en seront bien servies et gouvernées. Vous le dirés au dict roy de la Grande-Bre- tagne, m’estant plainct à mon ambassadeur residant a Rome, de l’advis qui avoit esté donné au dict roy, que les F rancois avoient plus que . nuls autres parlé et recherché, du temps du Feu pape Clement, de luy nuire, comme slils eussent aspiré à le faire excommunier. Il m’a envoyé, pour sa justification, le double, que vous aurés avec la pre- senteudlune lettre escripte sur ce subject par celuy qui exerçoit lors le datariat, et pour lequel le dict Pape ou le dict cardinal Aldobrandin avoient iaict escrire en Angleterre, dont vous informerés le dict Roy, non pour ce que j’estime estre besoing de justillier en son eudroict mes subjects, ny que je recherche satisfaction ou reparation plus grande de l’advis qui luy a esté donné, mais aflin qu’il sçache com- ' bien j’aIl’ectionne Yesclaircissement de tels oflices et rapports, et veulx que mes ministres et serviteurs charient droict en ce qui le regarde, comme il convient à `nostre amitié. Je recognois aussy qu’il en use de mesmes en mon eudroict, ayant voulu que son ambassadeur, resi- dant à Venise, Yesclaircist de ce qui luy avoit esté imputé, ainsy que vous m’avés escript et m’a esté confirmé par le s' Parrey en s der- niere audience ..... 1 _ A [ l605.j`— 29 MM. il Orig. autographe. — Cabinet de M. le général de la Loyère. Imprimé. — (Economics royales, t. II, chap. 50. A MON COUSIN LE MARQUIS DE BOSNY. Mon amy, Pour response à celle que Arnaud' m’a apportée de vostre ‘ Le reste de la lettre roule sur des de Hollande, malgréles menées des Espa- IIISITIICIÃIOIIS SUP les IHIOVCUS à CIDI)lt)yCI' gnols. POU? CODIIDUCT à servir la CRUSC (ICS Etats i ‘ Cet Arnaud était un des secrélaîres de Sully. LETTRES DE HENRI IV —"vI.
