Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome6.djvu/487

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j . DE HENRI IV., 471 ` quelle GD 3. tire, COI’IlI’Il3I1d€S HU dlCl. COIDHIISSHIPB qll ll. HB d€SCOI1VI'8 l'occasion de son voyage, et qu’il publie n’estre envoyé là plus pour recognoistre ce qu’il faut faire pour le garder que pour le faire a.lJattre.Et quand j’auray veu la dicte Royne, je prendray resolution avec elle de ce que nous en ferons. Enfin je desire que nous facions sauter ce nid, comme nous avons faict celuy de Carlat, si c’es t chose que nous puissions executer comme il faut`, aflin que personne ne pI1lSSC plU.S S’€I1 €Iï]P&I’BI` Bt S€1`Vi]` POU? lÃI’Ol1l)l€I` le PHyS§ dOI'1l. VOUS ITIB manderés vostre bon advis au retour du dict commissaire : et je prie Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa saincte garde. Escript à Mon- ceaux, le Xllje juillet 1605. HENRY. DE Nnurvittn. . l605. — 1 3 JUILLET. - llI"°". Cop. — B. N. Fonds Brienne, Ms. Z1}, fol. 3 13; -et Béthune, Ms. 900], fol. 170 verso. [A M. DE BEAUMONT.] ` Mons' de Beaumont, Le s' de Vitry sera porteur de la presente, en— coI‘eS que sa presence par deçà me fl1St necessaire pour mon Service ; toutesfois, j’ay voulu preferer le- contentement du roy de la Grande- Bretagne, mon bon frere, à toutes autres considerations, comme vous l’asseure1 es (luy presentant le dict s' de Vitry) que je feray tousjours place qui ruîneroit tout le pays si elle es- sent être recogneues, qui ne tenclirent ja- toit en mauvaises mains ; je supplie, donc mais qu°à honorer et servir Vostre Majesté tres-humblen1entVostreMajesté d’y pour- comme la plus obligée et fidelle de ses voir promptement, et de croire que mes creatures, qui, après luy avoir baisé les ' ambitions, apres l’honneur des bonnes mains, prieDieu, Monseigneur, luy don- graces de Vos Majestez, sont bornées à ner tres heureuse et longue vie. Boulogne ; l’halJitude que jiày faicte d’ai «Vostre tres humble et tres obeyssante mer le 1‘8poS, Cl'1 un Sejol1I‘ (le (lix ï1euf scrvante, sœux et subjecte, ans, ne mepermettant, ayant trouvé une «MABGUEBlTE.» demeure en bel air comme Boulogne, de — (Orig. autographe. — B. N. Fonds Du Puy, M. 2l’7, dcîlrer auire Cbîingcxîlcnt ’ trcâ hcureuêc fol. 96. — Imprimé dans les Lettre ; de Marguerite dc Valvit qu soit en lieu OU mes actions PUIS` Publiée ; Pg ; M, Gqgggm-d’P_