, I DE HENRI IV. i [IS7 [l6()!t ou 1605*.] 21 JUILLET. — ll“‘°. ‘ Orig. autographe. — Biblioth. impér. de Saint-Pétersbourg, Ms. 896, lettre 3. Copie transmise par M. Allier. A MONS" DE BELLIEVRE, cumcmmim ne ramer. Mons' le chancellier, Je vous ay faict seavoir, il y a quatre 0u cinq jours, ce qui estoit de mon intention touchant Yannoblissement que _i’ay faict expedier au s" de Voumare, et neantmoins je suis adverty que vous en aves faict quelque dilliculte. C’est pourquoy je vous fais ceste recharge pour vous dire ique je veulx que vous faciès sceller le dict annoblissem ent, sans attendre aultre plus exprès commandement de moy ; car je ne l’ay pas accordé sur de legeres considerations, le dict s' de Voumare meritant quelque chose de plus que ceste grace par les longs services qu’il m’a rendus. J e prie Dieu qu’il vous ayt, Mons' le chancellier, en sa saincte et digne garde. Ce xx_]“‘° juillet, à Mon- ceaux.
« [1605.] — 21 JtJ11.1.E1 .—— III". Orig. autographe. — Biblioth. impor. de Saint-Pétersbourg, Mss. 887, tom. I", lettre (ig. . ' Copie transmise par M. Houat. A MONS" DE BELLIEVBE, cuaxvcnrrxnn ne rames. Mons' le chancellier, Je vous a faict entendre ce i estoit de mon y qu intention sur le don que _i’ay conlirmé à ma cousine la princesse de . ‘ Cette lettre, datée de Monceaux, oùle remit les sceaux à M. de Sillery, la charge Boi ordonne à M. de Bellièvre de sceller de garde des sceaux se trouvant alors, _ un zmoblissement, ne peut être posté- comme dans quelques autres circons— rieure a 1605, car ce fut à Yaùtomne de tances, en d'autres mains que celles du cette année que M. de Bellièvre, fort âgé, chancelier.
