. DE H'ENB l IV. 107 _ ar la mort du dernier abbé ; mais arce e l’on ourroit retendre P P qu P qlllûllü est Cl€CllV€, 311 PI‘BJlld1C€ de ITICS dI’OlClZS, JO VOUS BSCPIS CBSÈG « . . . . . lettre afiin que vous apportiés tout le soing et vigilance qtu despendra de vous à empescher qu’1l ne se passe rren par delà en l’exped1t1on des bulles de la dicte abbaye contre ce qui vous sera par moy ordonné ; CHI` jf! 'I1,€I1lCI1(lS'ÃI)l)lI1Clà Cllliaullllë PBTSODDG $,6Il puisse PI‘€.V3.l.lOlT, GD vertu d’aulcune election ny nommination que le commandement que jû VOUS BD Ifèîëly. P8? 'llüllll POl1I"VOyéS ry COIIIITIB chose ll'DPOIlll€ à mon service et contentement, et m’advertissés de ce que vous aurés O advance en ceste afiaire en conformité de mon intention. J e prie • • l ’ • • `o g_ Q __ Dieu, Mons' d’Hal1noourt, qu'1l vousayt en sa saincte et digne garde. ' Escript à Paris, l ..... jour de febvrier 1607. ` ` L HENRY. Maire, quiell`1 aya tellementle nouvel abbé eût rendu le îsiége *vaoant_ien 1612, ~ en lui montrant des lettres du Roi à cet marquis de Verneuil ne reout qu'en 1621 égard, qu'il parvint à lui extorquer une ses bulles pour l'administration temporelle ' pension. H n’en est pas dit davantage dans du diocèse, ayant eu successivement pour la Gaule chrétienne ; mais de cette lettre à Yadministrer au spirituel plusieurs sufl'ra M. d’Alincourt, de deux autres à la mar- gants, car il n`était pas dans les ordres, quise de Verneuil, comme aussi d’une et il finit par renoncer à son évêché en lettre de Villeroy à Sully, dans lesquelles 1652. Sa terre de Verneuil fut alors érigée . il est fait mention de Maire ou Lemaire, en duchë pairie. Il fut reçu chevalier des . nous pouvons inférer que le quidam juvcni.1 ordres du Boi en 1661, et en 1665, en- nelailis du Gallia christiarza est le mar uis vo é ambassadeur en An eterre sous le _ CI Y de_Verneuil. nom de duc de Verneuil. Mais il ne se Henri lV eut plus de succès, comme on démit de ses nombreux bénéfices qu'en le verra par la suite, pour lui faire obtenir 1666, année où il fut nommé gouver- Yévêché de Metz, qui lui fut assuré d’a- neur de Languedoc, et où il épousa Char- bord par future succession lorsque le car- lotte Séguier, veuve du duc de Sully, petit dinal de Givryyfut nommé, en cette année [ils du ministre de son père. ll mourut. à 1607. Mais quoique la mort du cardinal Verneuil. le 28. mai 1682. ‘ . 1l1 .
