Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/318

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

DE HENRI IV. 301 diII’erends que vous aves avec vostre mary. Mais comme je desire qu’ils se terminent à llamiable, pour le contentement que fauray de vous voir reconciliez en bonne et parfaicte amitie, je veux que vous I ` contrihuies en ce ui des endra de vous et .a orties toute la fa- Y (I P Y PP cilite que vous pourres ; ayant donne charge à mon dict cousin de s’en entremettre de ma part, et m’aclvertir de ce que vous y aures Faict en conformité de mon intention. Je prie Dieu, Mad° la comtesse de Montgommery, qu'il vous ayt en sa saincte garde. _ HENRY. [1607. — veus LE MILIEU un musee.] — I". Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange. [A M. AEBSSENS.] _ Mons" Àersens, Ayant esté adverty par mes serviteurs qui sont en Hollande, des ditiicultez qui se sont rencontrées sur Yexpedition de ` la charge de lieutenant—colonneI du regiment du s' de Chastillon, dont _]’ay desire que le s' de Rocqucs Iust gratiliie, le s' du Sault ` l’ayant volontairement remise entre mes mains, je vous escris ceste lettre our vous rier de faire entendre aux sieurs Estats ce ui est P (I de mon intention en ce Iaict et le plaisir que fauray d’apprendre qu’ils se sont disposez à en gratiilier le dict s' de Rocques, suivant ce que je leur en ay escript ; vous asseurant que je vous sçauray aussy tres ' bon gré de ce que vous y contrihués en vostre particulier : et n’estant la presente pour aultre eH’ect, je prie Dieu qu’il vous ayt, Mons‘ Aer- ' • • sens, en sa samcte et digne gardel.

HENRY.

‘ Les cahiers de M. de la Grange nous ces instances aient réussi ; car on verra ont conservé deux autres lettres sur le ci-après, à l’année 1608, que le Roi finit même sujet, l'une à M. de Bussy, et par se désister et par donner, de concert l’autre au président Jeannin, pour obtenir avec les Etats, non pas M. de Roques, des Etats de ratifier le choix du sieur de mais M. de Montes uiou. our lieutenant (I P Roques ; mais il ne paraît pas que toutes colonel à M. de Châtillon.