I DE HENRI IV. 693 Mon compere, n’oubliés d’envoyer à ma femme le pinçon blanc que vous luy avés donné. U l609. — 8 Avmr. — I". y Orig. — B. I. Fonds Béthune, n° 9020, fol. lin. ` A MONS“ DE BREVES, u , cousnitrnn nn Mcm corsair i> nsri i nr Mou Aumssinnuix A nom. Mons' de Breves, Le s' evèsque de Thoul a quelques aflaires à `Bome pour le spirituel- de son evesché, esquelles il peut avoir besoin d'estre assisté par vous de mon nom et auctorité ; ce que je sçais que ‘ vous ne luy denierés, par la cognoissance que vous avés de l’inte- rest que j’ay de la conservation de ceiqui depend du dict evesché. Toutesfois, afin que vous le faciés du tout plus volontiers, reco- gnoissant combien je l’auray agreable, je vous ay voulu escrire ceste lettre pour vous en donner charge expresse, et vous faire sçavoir combien _i’ay en particuliere recommandation le dict evesque et son evesché. Et n’estant [ccste lettre] pour aultre subject, je ne la feray ' lus lon ue ue our rier Dieu u’il vous a t, Mons' de Breves, en P 8 (I P P (I Y _ sa saincte garde. Escript à Paris, le v11_]° jour d’avr1l 1609. ~ . HENRY. ' - irormn. . [1609.] — 8 avan,. — II". I Orig. autographe. — Cabinet de M. le général comte de la Loyèrc ‘. Imprimé. — (Economies royales, édit. orig. t. IV, p. 18li. i A MON COUSIN LE DUC DE SULLY. Mon amy, Vous m’aviés dernierement donné mille pistoles pour _ jouer, et je n’en pris que cinq cens ; mais pour ce que maintenant j’ay besoin des autres cinq cens, non pour jouer, je vous fais ce mot par ' Au dos est écrit, dela main de Sully ; « Le Roy, du 8° avril 1609, pour lui envoier _ 'cinq cens pistoles pour le jeu. »
