Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/720

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DE HENRI IV. J ' 703 . somme dans le premier comptant que vous ferés expedier par le dict tresorier de mon espargne. A Dieu, mon amy. Ce vf may, à Paris.

HENRY.

1609. — 7 MM. Orig. — Archives des Médicis, légation française, liasse 3. Copie transmise par M. le ministre de France à Florence. ' 4 C _ A MON NEPVEU LE GRAND DUC DE TOSCANE. _ Mon nepveu, Vostre lettre du xx° du mois de febvrier, par laquelle vous m’avés donné vostre premier advis du trespas de mon oncle le Grand Duc, vostre pere, que Dieu absolve, ne m’a esté presentée ` que le prem-ier du present ; et neantmoins, ayant seu auparavant la perte que j’ay faicte en sa personne, avec vous, je l’ay ressentie comme je dois. J’en ay aussy rendu les preuves convenables a nostre affinité et à la singuliere affection que je luy portois, laquelle je join- tlray doresnavant à celle que je vous ay promise, pour en toutes occasions embrasser et favoriser vostre prosperité et contentement. A tant, je prie Dieu, mon nepveu, qu’il vous ayt en sa saincte garde. Escript à Paris, le Vl]°jOIlI‘ de may 1609. u . HENRY. snutaar. 1609. —— 8 MAI. I Orig. autographe. — B. I. Fonds Béthune, Ms. 9072, fol. 6 n. I Cop. — B. I. Suppl. fr. Ms. ]009 2. A MON COMRERE LE CONNESTABLE DE FRANCE. Mon compere, Tenvoye le s' de Sainct-Geniés, tant pour scavoir de vos nouvelles et m’en rapporter, que pour bailler à mon cousin l’amiral, vostre frere, celle ue 'e lu escr, ar la uelle_`e lu mande ‘ (I J Y Y P CI J Y que, craignant que vostre santé vous empesche de vous rendre si tost pres de moy que je le desirerois, et voulant pourveoir au faict des _