Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/790

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

DE HENRI IV. 773 • . [1609.] — 23 s1:1>'r1sM1su1z. ` Orig. autographe. — B. I., Fonds Béthune, Ms. 9095, fol. io. Cop. — Suppl. fr. Ms. 1009-2. . A MON COMPEBE LE CONNESTABLE DE FRANCE. — Mon compere, Beaumont revint hier ; il a trouvé nostre hommel plus mechant que jamais. Il m’a dit des particularitez de son des- sein, u’i es necessaire ue vous s ac iés. our no envo és-mo <1 1 t q e h P <1 y y y le jeune Girard en poste, par lequel je vous manderay tout. Il part ce matin de Valery pour aller à Muret ; il laisse son carrosse à Bo- _ chefort, pour le mener des qu’il pourra aller. Il est hors de danger. Pour moy je me porte fortbien, Dieu mercy. ll fait icy le plus beau du monde. Toutes les fontaines de mon grand jardin sont toutes _ achevées et ma basse-court sera toute logeable à Noël. Je prie Dieu qu’il vous maintienne en santé. Ce XXIIJE septembre, à Fontainebleau. ii HENRY. 1609. —— 2 7 sE1= rEMBnE. —I'°. ‘ Orîg. — Arch. du duc de la Force. Cop. —— B. I. Fonds Saint Germain Harlay, Ms. 212-2, fol. 3. lmprimé.—Mémoires de la Force, publiés par M. le marquis della Grange, t. Il, p. 239. [A M. DE LA FORCE.] Mons’ de la Force, Je trouve aussy estrange que vous le renou- vellement de la poursuicte que font à present les ofliciers de Pampe- lune en faveur de ceux de Bastan et Valdero, de la Haute Navarre, contre mes subjects de Baigorry, pour la jouissance des montagnes d’Aldude, aprés avoir discontinue la dicte poursuicte et donné espe- rance de vuider ce dillerend par voye d’arbitre, ainsy qu’il est porté par vos lettres du vu° de ce mois ; et Faut qu’ils s’attendent d'ac— ' C’est à-dire, le prince dc Condé.