Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/950

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. i . . `\ ' ( s NON IMPBIMLES DANS CE VOLUME. 9.53 ADRESSES SUJETS DES LETTRES DATES. LIEUX DE LA DATE. , DES LETTRES. ET soUnCBs. I Etats un nouveau délai, pour attendre le retour de leur coniesseur, envoyé en Es- pagne, qui doit revenir prochainement ; mais le lloi s'y est refusé, désapprouvant. tout prétexte de uouveauxretards. Si, mel- gré tous ses efforts, la négociation 11'abon- ` tissait pas ii bindépendance des Provinces Unis, elles peuvent compter sur son ap- pui pour la conquérir ; car S. M. tient . . avant tout à les rendre libres. 0rig.—B. I. Fonds Béthune, lh. 90lO, fol. N3.- Cop. Fonds 5aint. Germai¤ fr. Ms. 76à, foi. it}, verso. — Impr. Mémoire : pour servir à l'Hietoira dr Francs, pu- — btiés par MM, Michaud et Penjeulat, ]6Ug_ 2* série, t. IV, p. 541. 24.l°""'°' P""' A la vl"'? da MNL Avis de la lettre écrite au sieur d'Arquien chargé de préparer une digne réception au cardinal de Givry a son entrée comme ` évêque de Metz. Le maître échevin et les . treize `auront a s'entendrc avec M. cl’Ar- quicn a cet etl’et. ' Orig. — Arch. de la ville de Metz. M""' [bld""' A M d'A"(l“l'”' Il est chargé de tout disposer a Metz pour que les habitants reçoivent, ii son entrée, avec les honneurs convenables, le cardi- nal de Givry, pourvu de cet évêché. Ibidem. . Idem. Ibidem. Au président de Selves. Avis des lettres précédentes et recommanda- tion de s'entendre avec M. d'Arquien, afin de ne rien négliger pour la réception . du cardinal, suivant l'ordrc, la forme, les honneurs et la solennité convenables. Cop. — Biblioth. de la ville de Ilets. 30 janvier. Ibidem. A MM. Jeannin et de Bussy. Approbation de la résolution prise par les Etats pour parvenir a la conclusion de la ' trêve, telle gu'elle a été proposée par ' M. Jcannin. I est probable que les archi- ducs voudront attendre pour so décider que leur confesseur soit de retour d’Es- pagne. Jacques I°' a protesté, par son ambassadeur auprès du Roi, qu’il n'a - jamais proposé la trêve simple, ainsi gu'on l'0¤ accuse ; toutefois, cette pro- , tcstation paraît tort suspecte. Le Roi con- ' I tinue lt penser que, si les Anglais pou- vaient espérer de laire agréer cette trêve ' aux Etats, ils cntreprcnclraient volontiers dc la faire passer, atin de complnire aux Espagnols, et d'enlever aux Français le merite de la conclusion du traité. Satislaë- l tion du lloien opprenantquele prince Mau ricc ct lc sieur de Barneveldt sont d’intel- ligcnco pour faireréussir le projet présenté par ses ambassadeurs. Il serait a propos ` d'0btcnir des arcbiducs une déclaration ‘ par écrit, portant qu'ils se proposent de traiter avec les États comme avec des gens libres. Ce'n'est qu‘a rès avoir ob- tenu cette déclaration qu'il conviendrait d'entrcr en conférence pour ébaucber le I