Page:Henri Poincaré - Théorie mathématique de la lumière, Tome 1, 1889.djvu/14

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
IV
PRÉFACE


devoir m’attacher d’abord à approfondir les idées de Fresnel ; cela me paraissait la meilleure préparation à l’étude de la pensée de Clerk Maxwell.

Un dernier mot. Dans le chapitre relatif à la diffraction, j’ai développé des idées que je croyais nouvelles. Je n’ai pas nommé Kirchhoff dont le nom aurait dû être cité à chaque ligne. Il est encore temps de réparer cet oubli involontaire ; je m’empresse de le faire en renvoyant aux Sitzungeberichte de l’Académie de Berlin (1882, deuxième semestre, page 641).

Paris, le 2 décembre 1888.
H. Poincaré

.