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THÉORIE MATHÉMATIQUE DE LA LUMIÈRE

En y remplaçant par le premier membre de l’égalité (2) cette équation devient :

(4)

D’ailleurs sont liés par la relation

qui donne par différentiation

(5)

Les deux relations (4) et (5), satisfaites à la fois pour toutes les valeurs que l’on peut donner à et doivent être identiques ; nous aurons donc en introduisant une constante arbitraire

(6)

Cherchons les valeurs de et des dérivées partielles qui entrent dans ces équations. Pour cela rappelons que la vitesse de propagation satisfait aux équations

(I)