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Page:Hippocrate - Œuvres complètes, traduction Littré, 1839 volume 9.djvu/103

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nourrit, mais se ferme du côté du cœur, non toutefois hermétiquement, afin que l’air y entre, sans pourtant arriver en abondance ; car, là, le chaud est faible, dominé par le mélange du froid ; le sang n’est pas chaud naturellement, non plus qu’aucune autre eau, mais il s’échauffe, bien qu’à la plupart il paraisse naturellement chaud. Soit dit ainsi au sujet du cœur.


fin du livre sur le cœur.