Page:Hobbes - Œuvres philosophiques et politiques (trad. Sorbière), 1787.djvu/98

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IV. Qu’on ne peut faire tort qu’à celui avec lequel on a contracté. V. Distinction de l’injustice, en injustice des hommes et des actions. VI. Distinction de la justice en commutative et distributive examinée. VII. Qu’on ne fait point d’injure à celui qui veut la recevoir. VIII. Troisième loi de nature, touchant l’ingratitude. IX. Quatrième loi de nature, qu’il faut se rendre com­mode et sociable. X. Cinquième loi de nature, touchant la miséricorde. XI. Sixième loi de nature, que les punitions ne regardent que le temps à venir. XII. Septième loi de nature, contre les outrages. XIII. Huitième loi de nature, contre l’orgueil. XIV. Neuvième loi de nature, touchant la modestie. XV. Dixième loi de nature, touchant l’équité, ou contre l’acception des personnes. XVI. Onzième loi de nature, touchant ce qu’il faut avoir en commun. XVII. Douzième loi de nature, touchant ce qu’il faut diviser par sort. XVIII. Treizième loi de nature, du droit d’aînesse, et de la préoccu­pation. XIX. Quatorzième loi de nature, que les médiateurs de la paix doivent jouir d’une sûreté inviolable. XX. Quinzième loi de nature, qu’il faut établir des arbitres des différends. XXI. Seizième loi de nature, que personne ne peut être juge en sa propre cause. XXII. Dix-septième loi de nature, que les arbitres ne doivent point espérer de récompense des parties. XXIII. Dix-huitième loi de nature, touchant les témoins. XXIV. Dix-neuvième loi de nature, qu’on ne fait aucun pacte avec un arbitre.