Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 13, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/234

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Et tout-à-coup l’étranger se changea en un rat qui s’élança sous la pelisse de la vieille et l’emporta dans les airs, loin du bûcher qui s’écroula et s’éteignit.

Le peuple fut saisi d’horreur, et chacun vit que ça avait été le diable en personne qui était venu tromper le conseiller et tant d’honnêtes gens et de femmes vertueuses de la ville.

Tant est grande la puissance du démon

dont nous préserve le ciel !

FIN DU TOME XIII.