Page:Houdar de La Motte - Œuvres complètes, 1754, tome 9.djvu/286

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Ses exclamations s’entendoient d’une lieue,
Et son zèle le suffoquoit.
Le sermon achevé, tout l’auditoire en joye
En le louant se retiroit :
Mais pour le consulter, quelque poule ou quelque oye
Avec le cafard demeuroit.
Pour sa collation il vous croquoit la proye ;
Bienheureuse qui s’en tiroit !