Page:Houssaye - La Vertu de Rosine, 1864.djvu/199

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mot, il ne détachait pas ses yeux de la morte.

— Qu’y a-t-il ? demanda l’une des femmes.

— Il y a, dit l’étudiant en médecine après avoir examiné la morte, il y a que cette belle fille s’est empoisonnée.