Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome I.djvu/339

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
325
LA MÊLÉE.

De coups plus furieux chaque armure étincelle ;
Les chevaux éperdus se dérobent au mors.
Viens, laissons achever cette lutte brûlante.
Ces hommes acharnés à leur tâche sanglante
Se reposeront tous demain, vainqueurs ou morts !


18-19 septembre 1825.