Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome X.djvu/396

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Tu n’avais pas en toi le souffle le plus triste
Dont puisse frissonner un esprit sous les cieux,
La désolation du Mal mystérieux,
Quand, regardant ces flots, tu penchas, noir génie,
L’éternel grincement sur la plainte infinie ?