Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome XIV.djvu/314

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

XV En plein midi,


En plein midi, quand l’astre est à plomb sur nos têtes,
On se sent la sueur, tiède, perler au front ;
Les heures, groupe las, ne dansent plus en rond;
Tout fait la sieste; on veut la grotte, on cherche l’arbre ;
La fleur se penche et dort; et les nymphes de marbre
Elles-mêmes ont chaud dans les parcs assombris
Quand l’ombre de leurs seins descend vers leurs nombrils.

XVI Les bois,