Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome XIV.djvu/430

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


L’ange, errant dans vos cieux comme dans une mer,
Est lui-même la nuit, l’inférieur, l’enfer,
Pour l’immense archange ivre et ruisselant d’aurore,
Espèce d’aigle monde et d’oiseau météore !

CIV Au point du jour,