Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Roman, tome IV.djvu/591

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
577
LE MANUSCRIT DES MISÉRABLES.

Nous reparlerons de la feuille N4.

La feuille J4 porte actuellement le chiffre 562.


Feuillet 563. — VIII. Post corda lapides.

Nous revenons ici à la description topographique du couvent ; la première version s’accorde assez bien avec la dernière et, à part les noms change’s, le texte est à peu près identique. À la fin du chapitre même, le texte ancien s’adapte merveilleusement :

La rue du Pot-de-Fer s’est appelée la rue de Bon-quitte, la rue du Puits-qui-parle s’est appelée la rue des Rosiers, car Dieu ouvrait les fleurs avant que l’homme taillât les pierres. Il n’y a pas deux siècles que la rue des Irlandais s’appelait la rue du Cheval-Vert.


Feuillet 566. — XI. Fin du Petit Picpus.

Modification de date à la révision. Voici le texte primitif avec le texte définitif en variantes.

En 1845, il se fait faisait encore çà et là quelques sœurs converses Il y a vingt quarante ans, les religieuses étaient près de cent, à l’heure qu’il est il y a quinze ans, elles ne sont n’étaient plus que vingt-huit. Combien sont-elles aujourd’hui[1] ?


En 1847[2] la prieure est était jeune, signe que le cercle du choix se restreint. La prieure n’a même pas Elle n’avait pas quarante ans.


Le bas et le verso du feuillet sont raturés ; une note au verso donne cette indication ;


Ne pas tenir compte de la rature. Ceci est conservé.


Conservé, oui, mais déplacé ; on retrouve ces passages recopiés en différents endroits du livre suivant.


LIVRE VII. — PARENTHÈSE.

Le livre entier, moins les passages rayés à la fin du livre précédent, a été écrit en 1861.


Feuillet 569. — II. Le Couvent, fait historique.

Note biffée en tête de ce feuillet qui devait d’abord être en tête du livre :


Les pages qui peuvent être reprises pour Prière sont marquées d’une ✗.

Le premier paragraphe est rayé, le voici :


Nous avons quelque chose à dire.

Mais, avant tout, et pour écarter absolument toute équivoque, commençons par renouveler ici, en très peu de mots, une déclaration qu’à propos des établissements ascétiques l’auteur de ce livre a déjà faite ailleurs, plusieurs fois.

  1. Ces quatre derniers mots sont ajoutés.
  2. Ajouté.