Page:Hugo - L'Homme qui rit, 1869, tome 4.djvu/133

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


IV

SATAN


Tout à coup la dormeuse se réveilla. Elle se dressa sur son séant avec une majesté brusque et harmonieuse ; ses cheveux de blonde soie floche se répandirent avec un doux tumulte sur