Page:Hugo - La Fin de Satan, 1886.djvu/292

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L’une de l’autre, hélas ! rapprocher mes paupières,
Et m’étendre, et sentir quelque chose de frais,
De doux et de serein, comme si je mourais ;
Si je pouvais me perdre un moment dans un songe,
Apaiser dans mon flanc ce qui remue et ronge,