Page:Hugo - Le Roi s amuse.djvu/246

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

i i i 1 n’est pas une chose peu mrleuse aujourd’hui de voir ces ` géants du théatrese débattre da¤s·d¢smm•v¢··;»ropos etdes avis me leoreur sous1’lnextrlcable réseau d’ob§ectious que · la critique contemporalne ourdtssult sans i·el&cl1e· autour d'eux. Ifauteur de ce dmmeue se omit pasdlgne de suivre ‘ d’aussl yrunds exemples. Il se taira, lui, devout-lu critique. I A Ce qui sled h des hommes plelns uhutorlte, commemollere et Cornellle, ue sled pas in d’autres. D’allieurs ll n’y a peut- étre que Cornellle au monde qul pulsse nestsr grand et su- blime, au moment meme ou ll. fait mettreme préiaceege- noux devant Scuderynu Cbapelaln. Uautéur est1oin.d’tre Cornellle; l’auteur.est loln.d’avoir vatlalre in Chupelain ou ll Seudery. La critique.; lt quelques mres exceptions pres, a - été _en~général loyale et blenveillaute pour lui. Sans doute A A ll pourralt répondre lyplus d’une objection. A eeux qui trouvent, p:u·_exemple,·que Gennaro se lulsse trop candl- doment empoisouner par le dud au second ucte, ll pourraix _ demauder si Gennaro, persounage consfruit par la fautulsle _ du poete, estteuu d’étre plus vrmlsarnwuélo et plus dé- Iiunt que l’l1istorique Drnsus de Taclte, ignarua at jewe- nilitw Imuriem. A ceux qui lul reprochent d’avolr exa— géré les crimes de Lucréce Borgln , ll dirait :.lisez Tomasi; ‘ lisez Guicciardlni, lisez surtout le Dim·ium.. A ceux qui le blament d’avolr acceptésur la`mort' desmarls de Luereee certelnes rumeurs populaires A demi fabuleuses , il répon`- drait que souventjles fablesdupeuple fontla véritaé du poete; ` et puis il clterait encore Tacite , hlstorlen plus oblige de se s critiquer sur la réalité des fails que le poete dramatique : _ Quamwls fabulosa et elmmamia crcdebanvur, atrocioro V ~ V — Dagmzeu ¤yGOOgl€