Page:Hugo - Les Misérables Tome V (1890).djvu/418

La bibliothèque libre.
Cette page n’est pas destinée à être corrigée.


LES MISÉRABLES





I



Il ajouta avec une sorte de dignité inexorable :

— D’ailleurs, faire mon devoir, voilà l’ami auquel j’ai recours ; et je n’ai besoin que d’une grâce, celle de ma conscience.

En ce moment, à l’autre extrémité du salon, la porte s’entrouvrit doucement et dans l’entre-bâillement la tête de Cosette apparut. On n’apercevait que son doux visage, elle était admirablement décoiffée, elle avait les paupières encore gonflées de sommeil.

(Volume V. — Livre VII : Chapitre I.)