Page:Hugo Rhin Hetzel tome 3.djvu/57

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la nuit ; j’entends, tout en dormant, les averses faire rage contre mes vitres ; je m’attends à d’horribles journées mouillées ; mais, je ne sais comment cela se fait, le matin les nuées se déchirent, les brumes s’envolent, et je vois les plus belles choses du monde.

Nocte pluit tota, redeunt spectacula mane.

Adieu, cher ami. À bientôt. Dans quelques semaines je serrerai votre bonne main. Aimez-moi.