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BRASSÉE DE FAITS

Ô stupeur ! qu’aperçois-je ?…

Son derrière nu !… Oui, nu, nu, tout ce qu’il y a de plus nu.

Quand elle s’est levée tout à l’heure, feignant d’aller au petit endroit, elle a fait le nécessaire : elle a baissé sa culotte… Elle a même relevé sa chemise et l’a maintenue, haut retroussée, bien au-dessus des reins par je ne sais quel artifice.

Elle m’a évité de prendre ces peines, c’est gentil. Mais, je ne me serais pas montrée empruntée, j’aurais su la descendre, sa culotte. Et sa chemise, j’aurais su la lui lever.

Je lui sais gré, néanmoins, d’avoir facilité ma tâche Est-ce pour cela que je regarde avec tant de sympathie ce joli derrière, le premier que voient mes yeux, mes yeux qui, depuis, en devaient voir tant d’autres ?

Mais, je ne m’attarde pas à le contempler sans rien faire d’autre, je veux le contempler en le claquant…

Je claque, je claque… Oh ! doucement, d’abord. Dame, j’ai un peu peur… Vous pensez : une première fois… Mais, que cela me plaît ! Je continue, je claque, je claque !

Jeanne est ravie :

— Oh ! tu peux claquer plus fort ! Je te dis, on n’entend pas. Quand maman me fesse, on n’entend pas d’en bas.

Je claque plus fort. Oh ! cela m’amuse encore plus, car le derrière qui me semble si joli à voir s’anime et se remue drôlement. Oh ! que je m’amuse ! que je m’a-