Page:Inscriptions de l'Orkhon déchiffrées.djvu/118

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aqpyɣqa tägi süladim, jyrɣaru jir‿baryrqu jiriṅä tägi süladim. bunča

aqpyɣqa tägi süladim, jyrɣaru jir‿baryrqu jiriṅä tägi sü[. . . . . . .

jirkä tägi jorytdym. ötükän jyšda jig idi‿joq ärmis, il‿tutsyqErreur de référence : Balise <ref> incorrecte : les références sans nom doivent avoir un contenu. jir . . . . . . . . . . . ]ükän [..]da jig i[...] ärmis, il[....]

IS5 otiik^n jys^^rm’s. bu-jirdà ot"r>p t^by^c bud"n birlà (i.5o) tuz*lt»m. .]tùk[.] jys *^rm’s. [ ] birlà tiiz[. . .

»Hun kiims is^gti qut^j buns^z ^nôa-biriir t*by*6 bud"n s*by IIN4 .]tiin kiim^s ’s'gl..] ai,74)qut*j buns>z^nèa-birur t*bg*è bud"n s*by-

siièig, *yysy jyms^q *rm*s. siièig s*b>n j^ms^q *yyn *r^p yr*qsiié ^g, *yysy jymsaq *rm’s. siie'g s"b>n j>ms*q *yyn *r*p yr*q

bud"n>> *néa-j*yutir^ *rm*s, jag’/ru qonduqda kisra *][>>- bil^g *nda- [ .7 j^gutir- ^rm’s, [. . . ] qond[. . .] kisrà *iyywbiUg% *nda-

IS6 iijur’^w&rm’s. m, 4») Mgii bilgâ kisig *dgû *tp-kisig jorytm*z *^rm’s, birii [ ]s. *dgù [. . .]gà kisig *^dgu 4p kisig jo[. . . .] *rm^s, bir>-

kisi j*nyts*r, uy>sy bud^’ny bisùkinâ t^ qydm*z *rm’s. sùèig IIN5 kisi j*fi>1s[ ]iikinà^t^i qy[. . .] (11,73) ’^rm^. su6*g

  • ou tutsaq * sic (-ir) ! * ou ojur.

Fer ; à gauche (c.-à-d. vers le nord) j’ai fait des expéditions jusqu’au pays des Yér-Bayirkou 69). Jusqu’à tant de pays j’ai conduit (les Turcs). Dans la forêt d’Kutuken ils n’avaient pas de . . . suzerain : le centre d’où se gouvernait l’empire, c’était la forêt

IS5 d’Eutuken. Habitant ce pays j’entrai en relations avec le peuple chinois. L’appel du peuple chinois, qui nous donne sans peine

(IIN4) tant d’or, d’argent, Aisigti , de soie( ?), était doux, ses richesses étaient molles 70). Kn s’insinuant par leur doux appel et leurs richesses molles 71), ils (les Chinois) firent approcher d’eux le peuple lointain. Après qu’ils (les Turcs) se furent établis dans leur voisinage, ils (les Chinois) répandirent (?) parmi eux leur civi-

IS6 lisation et leur savoir. Le bon homme sage, le bon homme vaillant, ils ne le renvoyaient (?) pas. Si un homme tombait en faute, ils ne s’avançaient pas jusqu’à . . de sa race et de son

((IIN5) peuple 72). Kn se laissant vaincre par leur doux appel et leurs