Page:Institutes Coutumieres avec des renvois aux Ordonnances de nos Rois, Vol.I, 1710.djvu/20

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Abrege de la Vie

A B. RE G e’ de la V r V f xncc de M. P. Pithou , ce prpv dige de mérité & de vertu. Ils y devinrent compagnons d’études , & ils furent amis à un tel point , que depuis ils s’appellerent toûjours F reres. .. Le mérité fuperieur de Cujas luy attira oientôt à Bourges l’envie *le fes Collègues. XXiarin qui y profeffoi-t avec fuccez , le déclara Ion- ennemi comme c’eû prefcjue ft forcé v*y m , toûjours le mérité qui e de fiiccomber , M. Cujas fut obligé en i ^57. de lai (Fer faCliaL re , & de venir à Paris. M. Loifel, qui n’avoit alors que zi. an , fuivic toujours fon Maître , il vint à Paris avec luy , mais parce que M. fon Pereétoitmort l’année précéder*te > il fut obligé d’aller pour quelque temps à Beauvais . Pendant cette courte abfence* JM* Cujas fut appelle à V alencç.