Page:Institutes Coutumieres avec des renvois aux Ordonnances de nos Rois, Vol.I, 1710.djvu/25

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de Monsieur Loiseliv

flement, ce que l’Autheur avoit’ entrepris dans les deux derniers Traitez. Mais ils font tous trois une preuve que M. Loifel , en-’ core Ecolier , alloit comme de . pair avçcles plus grands Jurifconfültes defon fiecle. Le temps vint enfin qu’il fallut quitter les Ecoles. Il partie de Valence ail mois d’Oftobrç de l’année 1^9." âgé de 23. ans feulement , & il alla prendre^ * i ; fes degrez à Bourges , dont TU- # niverfité étoit alors la plus célébré pour letudeduDroit, &qui le fut encore davantage dans la fijttèjpar le retour de M. Çujas , car. ce fut-là J qu , aprés i avoir triomphé de l’envie , il fe vit l’admiration de toute TEurope. ’Nequeeni tn * dit un fçavant Jurifconfu (.te Romain • aliquid igl tiorare per ilium ne que fine illo pa3 . „*• iifeere qnidquam licet ^ qu* ratio nos movit *t tmàiiam Jnrifpru forne /. | M.Gra- vina de or tn Tarif Civ i lis. (