De vouloir point encore fe ma* rier , il luy dit qu’il en écriroit à fa mere & à fes parens. Mais fa mere & fes freres, qui virent combien cette alliance luy étoit avantageüfe , vinrent promptement à Paris , ils arrêtèrent les articles , & mettans ainfi M. Loifel dans la neceffité de conclure ce mariage , ils luy firent connoîcre la vérité de cette réglé qu’il a mife dans fes Inftitutes , que Les mariages fe font au Ciel , & fe confommenten Regie ». la terre. La dot fut defix mille livres > avec cinq cens livres que M, Du Mefnil promit de donner , ou de faire les frais des noces , maisM. Loifel Payant prié d’en faire la dépenfe , M. Du Mefnil fit les choies magnifiquement * & pour faire connoître M. Loifel , il convia à fe$ noces tous Meilleurs les Préfidents, ^ • • • i nj
