Page:Institutes Coutumieres avec des renvois aux Ordonnances de nos Rois, Vol.I, 1710.djvu/34

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Abrege de la Vie

parM. Loifel. Nove/las Majo* riani , dit il , Antonio Loifello de b émus doiiijjimo & fuavi.ffimo viro , & fummi erga me ojfîcii , fummaque humanitatis. Il fit encore imprimer en fon 7 P ?- 15 66.fes Confultations,avecceldc C il M * ^ un ‘ ancien Jurifconfulte «uciic. qu’il eue de M. Loifel. Zcgum capta , dit-il , media atatisju -

  • rifconfultum quemdam^cujus no~

men mihi compertum non eftjuide mus expofuijje in ea confultatione , quam meis , pro exemplo (ingulari illius atatis , acceptam ah Antonio Loifello viro omnierudu iione & virtute praflanti ,prœfigendam ejjeduxi . L’année 1567. fut remarquable par les maux que les Relip ^« C e Z r gionaires firent dans le Royauté 0 / me ’ & par le fiege qu’ils mirent Z 7 ^ cvant Paris. M. Loifel en fortit aU mo * s ^cSeptembre^pour aller $*7, c ^ aux grands Jours , qui furent