T RE FACE. çois > qui étoient répanduës 5c ’ difpersées dans les Ordonnances de nos Rofs, dans.nôs Coûaimes , dans les Arrêts , dans les anciens Pratticiçns, & même dans nos Hiltoires. Mais quoyquc de l’avis des • Sçavans, il n’y ait eù, encore aucun Livre de Jgrjfprudencc , Françoife-, auffi parfait que celuy-cy , on n’en a pas néanmoins tiré tout l’avantage qu’il doit produire , ; parçe quç les* Réglés prifes des Coutumes of>fervées dans les Provinces ( du Royaume, étant obfcures & dit ficiles , il étoit d autant moins ppffible de les entendre , que l’Autheur n’avoit point indiqué > les lieux, où il les avoit trouvées,, ^ Meilleurs Antoine &. Guy Loifel fes enfaps , furent les premiers , qui s’appliquèrent à* lever ces obfcuritez , en faifant des renvois aux Coutumes ; aux
