Page:Institutes Coutumieres avec des renvois aux Ordonnances de nos Rois, Vol.I, 1710.djvu/52

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Abrege de la Vie

avoir quelques corrections de Monfieur Loifel. A b S. Martin de cette année il fut accablé de douleur par la perte de Monfieur P. Pithou le meilleur des amis qu’il eût au monde. Cet homme admirable mourut à Nogent le jour de 1 ?l Tou Saints , qui avoir été celuy de fa naiiïance , d*o,u il fut porté à T royes , eu fon Corps fut reçu avec tous les honneurs^u’on auroit pû faire à la perfonne de la première qualité. En 1599. M. Loifel, étant entré dans fon année climaélerique , fit un petitPoëme, auquel il donna pour titre Androias Chriftia nus , ou Pfulmus climaïiericus » que Rhanutius Gherus inféra dans fa collection des Poëtes illuflres de France, intitulée Delicicc Po’ètarum Gallorum , & Pannée fuivante , il fit encoreun au-

  • tre Poëme, qu’il intitula P fai-.