Page:Isaac Newton - Principes mathématiques de la philosophie naturelle, tome2 (1759).djvu/370

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DE LA PHILOSOPHIE NATURELLE. 181 exprimera l’attraction de la portion de ſphéroïde B M P ſur le corpuſcule A. En failant dans cette valeur x 2 a, on aura la quantité ha ³. a a

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haz gg 2 agg Vajgg + h² at ha ² va²ffsg+h²a4 2a+ 2 b. b a a tuât x f+za+ haa 2 t ſphéroïde allongé, on voit qu’en ce MUT gative ; -& qu’ainſi, en ſuppoſant que

ce qui eſt l’expreſſion de l’attraction du

ſphéroïde entier B M O, dont toutes les parties font ſuppoſées attirer en raiſon inverſe du quarré des diſtances, dans le cas de l’applatiffemeut vers les pôles. C. Q. F. T. b b Second Cas. Suppoſons à préſent ◄ 1, ce qui rendroit le a a dans la différentielle a 88 + a + gg g g a a af g cas la quantité g.g

) X Ang. Sinus

af) g gt 1, le calcul précédent feroit le même, pourvu qu’on fubftià la place de +. Faifant donc cette ſubſtitution a a a a x Ang. Sinus + haa a du du E — — ( — 4² + ²2 ( 1+ + + + –— 0) ₁0² gg Vaa aff h ² 4 ៩៩ g 4 a a + b b haa C — — : (-4+ —---)--) du on aura T a aff h² 4 g fera néau lieu de — ÷ (-^+/-)--) uu du UU, ou enfin