Page:Ivoi - Femmes et gosses héroïques.djvu/275

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Baste ! C’est des braves gens. Je les salue si bas que je croyais me mettre à genoux, et je leur dégoise à plein cœur :

— Je vous admire, Roi ; Reine, je vous vénère… Bonheur et Victoire sur vous, qui les méritez tant.

Eh ben ! vous ne me croirez peut-être pas, ils ont eu l’air épatés.