Page:J.-P.-R. Cuisin - La Volupté prise sur le fait, 1815.djvu/49

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sein des baignoires et de toutes ces cellules, souvent choisies uniquement pour le théâtre de la volupté, des épisodes charmans, des intrigues délicieuses, et que l’hypocrite bourgeoise, clouée à son comptoir, surveillée par vingt commis et surtout par son argus de mari, épie le prétexte du bain, pour se consoler, dans les bras d’un beau jouvenceau, des caresses périodiques et uniformes de son époux… — Sans doute les fiacres et remises sont maintes fois métamorphosés en couches adultérines, comme l’a fort spirituellement décrit M. Dejouy, dans ses Mœurs Parisiennes ; mais que le bain prête bien plus aux délicieuses trahisons conjugales !… Soyez aussitôt sa-