Page:Janin - Les catacombes, tome 3.djvu/10

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Par un beau jour d’été parisien, quand la ville a pris ses habits de fête, quand chaque maison a lavé le seuil de sa porte, quand l’eau de la borne voisine a coulé à longs flots dans le ruisseau, quand le pavé de la rue éclate et brille comme le carreau de vitre d’une ménagère hollandaise, il y a là en effet un instant de propreté luisante et de calme bien-être qui vous fait penser malgré vous à la minutieuse et patiente toilette que fait chaque