Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/122

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primaires pour les États-généraux, dans la passementerie et la soierie, les fabricants et les maîtres se trouvent en opposition, 92 ; mais seule la bourgeoisie a un programme et est capable d’action révolutionnaire, 96 ; opposition de sa Noblesse et de son Tiers-État à la question des biens communaux, 208 ; son organisation municipale en 1789, 408 ; sa vie municipale sous la Révolution, la lutte des modérés et des démocrates, 419 et sq ; sa fédération en 1790, 551 ; ses billets de confiance, 602 ; commencement de la crise industrielle à la lin de 92, 111, 203 ; la question du chômage, on veut y remédier par un emprunt assurant les subsistances, 266 ; la contre-révolution utilise le mouvement, 267 ; la crise cependant ne semble pas s’être développée, 268 ; ses finances à la fin de 1792, 274 ; les événements de février 1793, IV, 1055 et sq ; le mouvement contre-révolutionnaire, 1055 ; l’action des prolétaires, 1060 ; l’accaparement n’était pas un vain mot, 1062 ; les revendications ouvrières, tarif et impôt progressif, 1062 ; mort du roi et misère, 1063 ; le Club central, 1066 ; les élections du 18 février, 1067 ; les commissaires de la Convention, 1068 ; les revendications économiques des ouvriers lyonnais ressemblent à celles de J. Roux, 1070 ; ses délégués à la Convention le 15 avril, 1206 ; 1222 ; la journée du 29 mai contre les Jacobins, 1440 ; révolte contre la convention, 1634 ; investi par les révolutionnaires, 1682 ; forcé le 9 octobre, devient Commune affranchie, 1682 ; Collot d’Herbois oublie tout le passé de la grande ville, et veut la détruire entièrement, 1719 ; état de l’industrie de la soie en 1794, 1784 ; massacre de républicains en 1795, V, 99 ; 103 ; son organisation municipale sous la Constitution de 1795, 132 ; organisation de l’enseignement secondaire dans le Rhône, de 1794 à 1800, 197 et sq ; 379 ; VI, 20 ; la situation économique en 1806, 265 ; ses relations avec Leipzig, 265 et sq ; 267 ; nouvelles pétitions des commerçants lyonnais, 268 ; la question du chômage, 272, 273 et sq ; sa Chambre de Commerce a eu l’initiative des Conseils de prud’hommes, 278 ; 288 ; pensions aux artistes et ouvriers distingués, 295 ; 321 ; 516 ; sa situation en 1810, 518 ; sa situation industrielle en 1811, 526 ; le passage de Napoléon en 1815, VII, 44 ; provocation et répression en 1816, 120 ; état de son industrie en 1830, VIII, 54 ; la situation de la fabrique en 1831, 144 ; le caractère des canuts, 146 ; ils n’étaient pas des êtres dégénérés, 146 ; leur attachement à leurs idées, 147 ; leurs sentiments de dignité, 147 ; chefs d’atelier et compagnons, 148 ; la lot sur les prud’hommes rejetait les chef d’ateliers parmi les ouvriers, 150 ; les événements de novembre 1831, 152 et sq ; 226 ; 262 ; la propagande républicaine de 1831 à 1834, 263 ; les divers groupes, 264 ; le mutuellisme, 264 et sq ; la coalition de 1833, 266 et sq ; les événements de 1834, 267 et sq ; la République de 1848, IX, 15 ; le soulèvement de juin 1849, 152 ; sa commission d’organisation du travail est un petit Luxembourg en 1848, 274 ; le mouvement corporatif en 1848, 276 ; le mouvement syndical en 1848, 284 ; 286 ; sa situation industrielle sous la République de 1848, 328 ; les coopératives de consommation, 332 et sq ; Castellane les détruit, 334 ; ses transformations sous le second Empire, X, 64 ; la grande construction, 66 ; l’organisation des comités de secours pour les proscrits, 88 ; la propagande républicaine sous l’Empire, 94 ; 100, 104 ; le mouvement républicain de 1852 à 1863, 153 ; 163 ; la solidarité ouvrière sous le second Empire frappe les procureurs généraux, 183 et sq ; 187 ; 189 ; 193 ; la revendication du tarif, 193 ; 198 ; adresse de sympathie à la candidature ouvrière de 1863, 212 ; 2o5 ; le développement de l’Internationale, de 1868 à 1870, Cf. Richard (Albert) ; la Commune de 1871, XI, 368 et sq ; 441 ; suppression de la mairie centrale, XII, 95 et sq ; le Congrès de 1877, 208 ; la situation industrielle en 1877, 212 ; mouvement en faveur des canuts, 214 ; l’attentat de la place Bellecour, 241 ; les élections municipales de 1900, 291.

Lyonnais. Agité par une sorte de jacquerie en juillet 1789, I, 275.



M


Mably. Ses rêveries sont réactionnaires, I, 134 ; III, 841 ; IV, 1531 ; inspirateur de Babeuf, V, 22.

Macdonald, général, V, 403 ; 487 et sq ; sa campagne de 1799, 503 et sq ; son rôle au 18 brumaire, V, 580 ; son rôle en Allemagne en 1812, VI, 410 ; à Leipzig, 437 ; la campagne de France, 585 et sq ; VII, 20 ; fidèle à Napoléon