Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/133

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Ministres. Comment en 1792, la nomination de ministres patriotes les amène forcément à étendre leurs responsabilités, 951.

Miollis. Son rôle à Rome, VI, 374.

Miot (Jules), IX, 137 ; arrêté le 2 décembre 1851 ; déporté en 1851, 27 ; élu à la Commune, XI, 308 ; 311 ; 330 ; 428 ; 430 ; 446.

Miot de Mélito, VI, 156 ; 458.

Miot (Jacques). Mémoires, V, 478.

Mirabeau (le père). Ses Éléments de Philosophie rurale, I, 180 ; ses idées sur le fermage, 181.

Mirabeau. Son mot sur « les avances d’idées » de la Révolution, I, 37 : appuyé des riches et du peuple à Marseille, 59 ; son élection, 60 ; explication de son mot sur Paris « qui ne sera jamais une ville de commerce », 112 ; sa diatribe contre Paris qui « a créé la dette » et vit « d’opérations financières » est injuste, 127 ; il note que le peuple ne veut pas demeurer dans les ateliers, 132 ; élu par le Tiers-État, quoique noble, en 1789, 154 : il s’oppose à ce que le Tiers État se constitue provisoirement en ordre distinct, 235 ; il l’anime à la résistance, 236 ; il veut diviser les privilèges et fait décider l’envoi d’une députation au clergé, 238 ; dénonce la manœuvre de Necker sur la question du vote, 240 ; il s’effraie de l’initiative de Siéyès, 242 ; son apostrophe du 23 juin 1789 à M. de Dreux-Brézé, 252 ; il souffre de la séance du 23 juin, songe toujours à faire faire du roi le chef de la Révolution, 255 ; ce fut toujours sa grande espérance, 255 ; son idée de la révolution humaine, 255 ; il dénonce le 8 juillet 1789 le rassemblement des troupes comme cause de l’agitation, et donne aux soldats le signal de l’indiscipline pour la liberté, 258 ; il montre l’impossibilité du rachat des dîmes, 298 ; il veut renvoyer la déclaration des Droits après le vote des articles constitutionnels, 30i ; les partisans du duc d’Orléans se servent de sa popularité, 316 ; partisan du veto absolu, gêné par le mouvement de Paris, 324 ; il cherche le 5 octobre 1789 à éviter le choc entre la Révolution et le roi, 344 ; histoire de sa vie. son caractère, 359 ; sa conception de la démocratie et de la royauté, 359-362 ; ses relations avec la cour ; il veut entraîner la royauté dans la voie révolutionnaire, 363 ; ce qui serait arrivé, s’il avait réussi, 364 ; mais la mensualité qu’il recevait de la cour l’abaissait, 366 ; son plan d’ailleurs était chimérique, 367 ; il emporte pour la royauté le droit de guerre, 376 ; .ses interventions dans les affaires de Marseille, 415 ; 426 ; il combat les plans financiers de Necker, 436 ; dans la question des biens ecclésiastiques, il affirme la toute puissance de la loi, 433, et le pouvoir sans limites de la Constituante, 454 ; puis il tente de voiler la portée de l’acte, 455 ; son discours capital sur l’assignat-monnaie, 470 ; il défend la Constitution civile ; 542 ; sa déception le jour de la Fédération 555 ; hostilités contre lui au début de 1791, 556 ; son attitude dans les incidents militaires de Nancy, 559 ; il veut l’abolition de l’esclavage, 563 ; 567 ; il défend la petite industrie contre la grande, 626 ; il insiste près du roi pour qu’il adopte son plan, 660 ; jugé par Fersen, 664 ; sa mort, le 2 avril 1791, 679 ; impression qu’elle produit sur le peuple, 679 ; qu’aurait-il fait s’il n’était pas mort ? 682 ; rien certainement : la fuite de Varenne l’avait frappé d’un coup formidable, 683 ; grandeur intellectuelle de sa mort, 684 ; 752 ; jugé par Hébert, II, 1052 ; III, 467 ; IV, 1504 ; IX, 263.

Miramon, conservateur mexicain, X, 134 ; 276.

Mirande (V.). Comment il accueille le Coup d’État de 1851, X, 18.

Mirman, député, XII, 301.

Mirecourt (Eugène de), VIII, 463, 513.

Mirecourt (V.). La noblesse demande le maintien des communaux dont elle touche 1/3 des revenus, I, 209.

Mirés, financier, X, 47.

Miribel (Général de). Chef d’état-major, XII, 240.

Missions à l’intérieur. Sous la Restauration, VII, 135.

Missolonghi (V.). Le siège, VII, 220.

Mitchell (Robert), journaliste, XI, 210.

Mittié, jacobin, IV, 1426.

Mocquard, conseiller de Napoléon III, X, I38.

Mode (La), journal, VIII, 284.

Modène (duché de). Ses relations avec la France en 1796, V, 330 ; son insurrection gêne Laflitte, VIII, 99 ; l’insurrection, de 1830, 106.

Mœser (Karl Friedrich von), III, 551.

Mœser (Justus). Note l’impuissance allemande en 1789, due à l’absence d’un Tiers-État, III, 448 et sq ; sa fierté allemande, 450 ; ses Imaginations patriotiques, 452 ; ses études sur le développement des manufactures, 453 et sq ; son idée de transformation du servage, 489 ; mais il critiquait les droits de l’homme et leur opposait le droit exclusif de propriété territoriale, 494.

Mohilev (V.). Bataille, VI, 392.

Moilin (Tony). Sa mort, XI, 472.

Molé (Comte), VII, 121 ; il se retire du ministère, VIII, 32 ; sa phrase sur la République, 262 ; président du conseil, 291 ; 297 ; il reste au ministère malgré