Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/145

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tique de Napoléon à leur égard, de 1800 à 1807, VI, 225 et sq ; les ateliers publics, 226 ; la conception de la liberté du travail, 232 : la loi du 22 Germinal an XI ; comment elle règle les rapports entre ouvriers et patrons, 233 et sq ; accroissement de leur nombre sous le premier Empire, 520 ; leur situation à Paris en 1813, 534 et leur condition sous la Restauration, VII, 92 ; leurs opinions politiques à cette époque, 93 : les sociétés secrètes, 94 ; leur état d’esprit en 1830, 255 et sq ; leur agitation après les journées de Juillet, VIII, 16 et sq ; mesures proposées, 18 et sq ; comment les républicains veulent en dissimuler l’importance, 19 ; leur condition en 1830, 56 ; pourquoi le paupérisme est devenu moins supportable, 57 ; le patron ne se soucie plus de la vie de l’ouvrier et le lendemain est incertain, 58 ; les conditions de la vie, 58 et sq : la misère, 68 et sq ; la nourriture des classes ouvrières, 70 ; mauvaises conditions du travail, 71 ; surpeuplement et insalubrité des logements, 72 et sq : la législation les asservit, 74 ; l’ivrognerie, 75 ; les mœurs, 76 ; premiers germes de libération, 79 ; leur action et leur organisation de 1830à 1834, 225 et sq ; leur échec aux élections à la Constituante en 1848, IX, 47 ; ils inquiètent la province et manœuvrent mal à Paris, 48 ; leur situation sous l’Empire ; ce que l’Empire faisait pour eux, X, IV ; discussion sur leur attitude au Coup d’État, V : politique de Louis-Napoléon à leur égard, au moment du 2 décembre, 7 : leurs associations dissoutes après le Coup d’État ; 34 ; leurs sentiments républicains sous l’Empire, 90 ; les conditions du travail et de la vie sous le second Empire, 172 et sq : la misère dans les grands centres, 179 ; le gouvernement craint des émeutes de la faim, 180 ; l’enquête de 1855, 180 ; sentiments nouveaux qu’ils éprouvent à l’égard de leurs employeurs ; ils comprennent la lutte des classes, 182 ; la solidarité de classe se fait jour dans les consciences, 184 ; elle s’affirme par les tentatives d’associations professionnelles et les candidatures ouvrières, 187 et sq ; leurs manifestes contre la guerre en 1866, 267 ; leur condition pendant le siège de Paris, XI, 262 ; leur réorganisation vers 1874, XII, 132.

Ouvriers agricoles, VI, 235 ; de 1800 à 1807, 264.

Ouvriers du bâtiment. (Cf. Maçons). Leur lutte à Paris au sujet des heures de travail en 1806, VI, 236 et sq.

Ouvriers étrangers. Leur nombre sous le premier Empire, VI, 520 et sq.

Ouvriers en voitures, X, 179.

Ovalistes. Leur grève de 1869, X, 350.

Owen (Robert), VIII, 490 ; 562 ; IX, 22 ; 231 ; 233 ; 239 ; 289.

Ozanam, VIII, 336.



P


Pache (J. N.), marque le progrès agricole, réalisé de 1789 a 1799, I, 520. Commissaire de Section, II, 1277 ; III, 298 ; il passe des Girondins à Danton, 431 ; IV, 927 ; 930 ; démissionne, 976 ; 1000 ; maire de Paris, son rôle en février 1793, 1035 ; 1132 ; (256 ; 1346 ; 1368 ; 1378, 1380 ; comment il se rallia à l’Évêché le 30 mai au soir, 1382 ; son rôle comme maire réinstitué par l’Évêché, 1390 ; son rôle le 31 mai, 1399 et sq ; 1433 ; 1760 ; 1804 ; V, 23 ; 96 ; 147 ; son écrit sur les babouvistes, 326.

Paepe (César de), X, 287 ; son rôle au Congrès de Lausanne, 312 ; délégué au Congrès de la paix, 314 ; 336 ; XII, 208.

Pagès (de l’Ariège), X, 104.

Pagnerre. L’idée des banquets est de lui, VIII, 550.

Pagnies. Commissaire de section. II, 1277.

Pahien (comte). Assasin de Paul l« r, II, 123.

Pailhès. Son rôle dans le complot de Belfort, VII, 174.

Pain. Le problème du pain à Paris en 1789, I, 331 ; les ménagères se figurent que si le roi est là tout ira mieux ; (Cf. Blé) ; cherté du pain au début de 1793, III, 283 ; la consommation du pain blanc s’étend en 1792, 296.

Paine (Thomas). Son passé, III, 755 ; son livre : les Droits de l’Homme, 756 ; c’est le premier évangile du radicalisme politique en Angleterre, 759 ; ses idées sur les réformes sociales, sur l’éducation, 759 ; sa haine de la guerre, 760 ; 775 ; brûlé en effigie, 793 ; député de Calais à la Convention, il vote la détention du roi, IV, 952 ; , s’oppose à la Constitution de 1795, V, 135.

Pairie (hérédité de la). La question en