Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/163

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misère à la fin de 1797, 427 et sq ; leur ruine en 1798, 526.

Repos hebdomadaire. Ordonnance du 7 juin 1814, VII, 36 ; une loi demandée par les catholiques et les socialistes en 1848, IX, 193 ; la question en 1848, 296 ; circulaires ministérielles pour le repos du dimanche, 297.

Représentant du Peuple (Le), journal, IX, 96.

Républicains. Leur opposition au 1er Consul de 1800 à 1802, VI, 143 et sq ; l’agitation, 144 ; comment Bonaparte les redoute plus que les royalistes, 144 ; c’est contre eux qu’il tourne ses soupçons après l’attentat de la rue Saint-Nicaise, 152 ; ils sont proscrits, 152et sq ; leur opposition au plébiscite de l’An X, 170. Comment ils lurent joués en 1830, VIII, i et sq ; leur démarche au Palais-Royal en août 1830, 10 ; leur agitation sous le ministère Casimir-Périer, 127 et sq ; leur activité en 1832, 168 ; leur guillotinomanie, 168 ; leurs rapports avec les Saint-Simoniens, 195 ; leur puissance dans le pays avant l’insurrection d’avril, 262 ; désorganisés par la mort de Carrel, 286 ; leur attitude envers les Communistes en 1843, 458 ; leur politique extérieure. en 1848 ; les partisans de la guerre et ceux de la paix, IX, 16 ; ce sont les modérés qui, au début, tiennent la République de 1848, 30 ; leurs divisions en 1848 en face de la coalition de l’Ordre, 46 ; leur faute du 15 mai : dès alors ils sont débordés par les royalistes, 55, leur concentration après juin, 136 ; le parti démocrate-socialiste ; son programme est formulé par Ledru-Rollin, le 24 février 1849, 136 ; leur propagande, 137 ; ils demandent la mise en accusation du président à l’occasion de l’expédition de Rome, 147, frappés après le i3 juin 1849, 152 ; la loi du 27 juillet 1849, 153 ; ils se font, en 1850, un parti de paix sociale et de légalité, 197 ; leurs forces, 207 ; l’attente de 1852, 209 et sq ; ils sont alors le véritable parti de l’Ordre, 210 ; poursuites nouvelles contre leurs sociétés en 1850, 212 ; leur politique en 1851, 215 et sq.

Décimés après le 2 décembre, 224 ; leur force au moment du Coup d’État, X, 6 ; traqués de tous côtés après le Coup d’État, 26 et sq ; on veut les anéantir, 26 ; à quelle surveillance ils sont soumis tout le temps de la Dictature, 31 et sq ; leur attitude aux élections de 1852, 39 ; leur attitude dans la question d’Orient en 1854, X, 79 ; leur vie à l’étranger et en France de 1852 à 1859, 84 et sq ; l’entrée des livres contre l’Empire en France, 86 ; les comités de secours pour les proscrits, 88 ; l’opposition de salon, 88 ; professeurs et étudiants, 89 ; les ouvriers sous l’Empire autoritaire, 90 ; les diverses corporations, 91 ; les exilés, leurs idées, relations avec les hommes de l’intérieur, 96 ; attentats et conspirateurs, 98 et sq ; la question des élections de 1859, 108 ; faut-il s’abstenir ? 102 ; ceux qui veulent s’assermenter ; la campagne et les résultats, 102 et sq ; traqués de nouveau en 1858, 112 et sq ; leur attitude lors de la guerre en faveur, de l’Italie, 118 ; la rentrée des exilés ; les deux générations, 148 ; la génération de 1860. 150 ; leur opposition au Corps législatif de 1863 à 1866, 259 ; leur amendement à l’adresse de 1866, 260 ; la situation du parti en 1864, groupes et tendances, 283 et sq ; comment, sous l’Empire, ils purent plus facilement s’enthousiasmer pour l’unité italienne que pour l’unité allemande, 96 et sq ; leurs attitudes à l’égard de l’Allemagne, 98 et sq ; Cf Quinet ; leur tactique quand éclate la candidature Hohenzollern, 177 et sq ; le 9 juillet, ils accentuent leur attitude pacifique, 191 ; mais certains voient dans la paix un recul de l’Empire et par là le rendent plus difficile, 192 ; leur silence, le 16 juillet 1870, 212.

Leur situation en 1871, XII, 9 ; un réveil qui se manifeste un peu partout, 11 ; leur succès aux élections de juillet 1871, 22 et sq ; leurs succès aux Conseils généraux, en octobre, 47 ; aux élections du 7 janvier 1872, 55 ; ils comprennent toute l’importance des sentiments pacifiques de la France, 145 et sq ; résumé de leurs progrès électoraux de 1871 à 1874, 150 ; les divers groupes en 1875, 153 ; leur politique à partir de 1875, 169 et sq ; traqués par Dufaure en 1875, 174 ; Opportunistes et radicaux, 175 ; leur rôle de 1876 à 1878, 179 et sq ; leur union en face du gouvernement du 16 mai, 2o3 ; les différents groupes en 1877, 215 ; leurs divisions après 1879, 232 ; leur concentration contre Boulanger, 252.

République. L’idée est toute nouvelle en 1791, mais elle est mise en évidence par la fuite du roi, I, 719 et sq ; comment elle s’impose de 1789 à 1792, II, 1310 et sq ; sa proclamation : en quoi consiste sa nouveauté sublime, III, 176 ; comment l’idée en semblait liée à l’idée de guerre en 1800, VI, 128 et sq ; disparition de ses derniers vestiges sous le premier Empire, 202.

Pourquoi elle ne pouvait renaître en 1830 VII, 252 et sq ; conditions de sa proclamation en 1848, IX, 2 ; le gouvernement provisoire déclare qu’il la veut, 4 ; sera-t-elle démocratique et sociale ? 4 ; elle constituait, en 1848, le passage de la ploutocratie à la démocratie, 20 ; déclassement des partis, 22 ; démocrates et socialistes, 24 ; le gouvernement qui divise le moins ; quand on veut y toucher, les oppositions reparaissent : c’est l’histoire de mai 1850 à décembre 1851, 201 ; la forme subsiste, mais elle est bien morte dès le 2 décembre 1851, 227.