Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/173

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Saint-Claude, V, 258.

Saint-Cloud (V.), I, 684 et sq ; XI, 425.

Saint-Costard, négociant lyonnais, I, 426.

Saint-Denis (V.), I, 431 ; V, 463 ; X, 295.

Saint-Denis-de-Cernelles. Fait entendre des réclamations contre les villes et leurs habitants, I, 222. Saint-Domingue, I, 56o ; 566 ; une Vendée bourgeoise, capitaliste et esclavagiste, 562 ; prétentions des colons, 562 ; soulèvement des mulâtres et des noirs en 1791, II, 794 ; la révolte de 1791, 958 et sq ; hypocrisies et roueries des colons, discussion à la Législative, 968 et sq ; les troubles s’étendent pendant les premiers mois de 1792, et le débat revient à la Législative en mars, 987 et sq ; le décret du 24 mars 1792 rétablit l’égalité entre blancs et mulâtres, 996 ; la discussion sur le mode de nomination des commissaires, 992 ; ces troubles de 1792 atteignent peu le commerce, 995 ; V, 123 ; 126 ; 174 ; le succès de Toussaint-Louverture, 484 ; les Français peu à peu évincés, 486 ; la politique du Premier Consul et l’expédition de Leclerc, VI, 130 ; 176 ; règlement de la question du retour des colons en 1826, VII, 211.

Sainte Rime (Ida de). « La Contemporaine », VIII, 416.

Saint-Étienne (V.), I, 426 ; nomme le premier député ouvrier, III, 113 ; IV, 1682 ; VIII, 226 ; 2625271 ; sa situation industrielle sous la République de 1848, IX, 328 ; la propagande républicaine sous l’Empire, X, 92 ; 295 ; 307 ; la Commune de 1871, XI, 369 ; le congrès socialiste de 1882, la scission, XII, 233 ; la grève de 1900, les bagarres, 281 ; 304.

Saint-Eustache (section de), IV, 1224.

Saint-Gresse (de), président du tribunal de Toulouse en 1871, XI, 36g et sq.

Saint-Germain-l’Auxerrois (église). L’émeute de février 1831, VIII, 36.

Sainte-Geneviève (section de), I, 750 ; II, 1268.

Saint-Germain-en-Laye (V.). Des désordres y éclatent en 1785, I, 277 ; V, 199.

Saint-Gilles (V.), I, 507.

Saint-Gobain (V.). La manufacture, V, 258.

Saint-Hilaire (Aglaé). Saint-Simonienne, VIII, 199.

Saint-Huruge (marquis de). Conduit la manifestation contre le veto absolu, I, 320 ; son action avant le 20 juin 1792, II, 1204.

Saint-Jacques (section de), IV, 1224.

Saint-Jacques-l’Hôpital. Le bataillon du district protège « l’ordre », le 5 octobre 1789, I, 340.

Saint-Jean d’Acre (V.). Le siège, V, 472 et sq.

Saiat-Julien, amiral, reste fidèle à la Révolution, IV, 1674.

Saint-Julien (comte de). Sa négociation en 1800, 111 et sq.

Saint-Just, III, 290 ; 312 ; son caractère ; sa compréhension des problèmes économiques, 35g ; son discours du 29 novembre 1792, 36o et sq ; il y signale la cause essentielle du désordre économique prochain,, la surabondance du signe, 361 ; il avertit le pays de toutes les difficultés imminentes, 365 et sq ; son sophisme sur le procès de Louis XVI, IV, 857 ; sa réponse à Desèze, 889 ; 932 ; ses idées sur l’armée, 986 ; il est attaqué par les pétitionnaires sur la question du maximum, 1020 ; 1048 ; peu préoccupé de la définition de la propriété, 1570 ; 1586 ; son rapport sur les Girondins arrêtés, 1626 et sq ; membre du Comité de Salut public, 1681 ; 1690 ; 1691 ; 1722 ; sa mission à Strasbourg, 1726 ; 1727 ; 1738 ; de retour des armées, il lance le rapport du 8 ventôse an 11, 1746 ; son système social rejoint son terrorisme, 1747 ; ses idées sociales, 1748 et sq ; la révolution dans « l’état civil », c’est-à-dire dans les conditions économiques, 1751 ; comment son observation des réalités économiques commandait sa politique, 1753 ; révolutionnaire par l’économie, 1753 ; son discours du i3 mars 1763 ; 1798 ; il sent ce que le retour au régime normal a de surhumain, 1802 ; son embarras immense, 1803 ; hanté de l’idée de la mort, 1806 ; 1814 ; comment il se sépara à demi de Robespierre le g thermidor ; sa fin, 1816 et sq.

Saint-Laurent. Église de Lyon, I, 422.

Sainte-Lucie (Île), V, 123 ; 174.

Saint-Mandé (V.). Les banquets de 1896 et de 1900, XII, 284.

Saint-Marc (V), I, 567.

Saint-Marc-Girardin, VIII, 520 ; IX, 177 ; X, 255 ; XII, 73.

Saint-Marceau (faubourg). Sa constitution économique, I, II3 et sq ; l’émeute du sucre, II, 1000 ; 1204 ; son rôle au 20 juin 1792, 1207 ; au 10 août, 1287 et sq ; il ne bouge pas le 25 février 1793, IV, 1041 ; V, 2g3 ; la propagande babouviste, 307 et sq ; son mouvement au 18 fructidor, 421 ; les ouvriers y sont communistes en 1843, VIII, 456.

Sainte-Marie-aux-Mines (V.), VIII, 72 ; 226.

Saint-Marsan (M. de), VI, 415.