Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/18

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Arnaud (Antoine), XI, 307 ; élu à la Commune. 308 ; 330 ; 430 ; membre du Comité de Salut public de la Commune, 431 ; son rôle pendant la semaine sanglante, 462.

Arnaud-Tizon, membre de la municipalité de Lyon en 1789, I, 420.

Arnauld. Ses œuvres théâtrales. V, 219.

Aruault. Souvenirs d’un Sexagénaire, V, 475 ; 572 ; 575 ; VI, 492.

Arndt (Ernst-Moritz), poète. Son rôle dans le relèvement prussien de 1813, VI, 418 ; ses odes, 419 ; VIII, 398.

Arné. Vainqueur de la Bastille, I, 263.

Arneth (comte d’), II, 828.

Arnim (d’), ambassadeur prussien à Paris, XII, 34.

Arno (Dép ). Sa situation industrielle en 1811, VI, 526.

Arnold, membre du Comité central en 1871, XI, 287 ; 30o, 303 ; 436 ; 439 ; ; 463.

Arnould, V, 270.

Arnould (Arthur), membre de la Commune, XI, 308 ; 313 ; 329 ; 330 ; 334 ; 379 ; 430 ; se range dans la minorité, 431 ; 439

Arnoult. Oppose la dîme aux droits féodaux, le 11 août 1789, I, 298.

Aronshon, XI, 443.

Arpajon (V.), V, 245.

Arras (V.). La protestation contre le 18 brumaire, VI, 20.

Arsenal (section de l’), II, 1268 ; IV, 1258 ; 1318 ; ses luttes intestines, 1331 ; les sans-culottes l’emportent, 1334 ; 1387.

Artaud. Histoire de Pie VII, VI, 80.

Articles organiques. Historique de leur élaboration, VI, 92 et sq ; leur caractère de loi de l’État, 94 ; leurs dispositions, 95 et sq.

Article 1781 du Code civil. (Cf. Contrat de travail).

Artigoeyte (d’), député à la Convention, IV, 1276.

Artois (comte d’). (Cf. Charles X).

Arts. La Convention et les artistes, III, 214 ; ce que firent pour leur protection la Convention, puis le Directoire, V, 209 ; leur caractère sous le premier Empire, VI, 500 et sq.

Asiles (maternels). Leur situation en 1848, IX, 164 ; ils deviennent les écoles maternelles, 167.

Asnières (V.), XI, 393 ; 426.

Aspromonte (Bataille d’), X, 140.

Assassinat politique. La thèse de Louis Blanc pour l’expliquer, VIII, 217.

Asseline (Louis). Son rôle dans les tentatives de onciliation en 1871, XI, 411.

Assemblée des électeurs. (Cf. Paris).

Assemblée nationale (L’), journal, IX, 195 ; X, 47.

Assemblée nationale de 1871, XI, 15 ; sa réunion, XI. 265 ; elle fit l’unité révolutionnaire de Paris, 265 ; ses premiers actes, 266 et sq ; sa rage contre Paris, 292 ; comment elle accueille les maires de Paris, le 23 mars 1871, 298 ; les royalistes contre Thiers, 302 ; elle remercie l’armée après la semaine de mai, XII, 8 ; reprise des travaux en décembre 1871, 50 ; elle oublie ses. divisions politiques dans la question économique des impôts, 57 ; session d’avril 1872, 65 ; enquête sur les événements de 1870, 73 ; rentrée de novembre 1872, discours de Thiers, 87 et sq ; la campagne de dissolution, 89 ; ses derniers travaux, 177 ; sa prorogation, sa fin, jugement d’ensemble, 178.

Assemblées primaires. Leur place dans la Constitution de 1793, IV, 1586 leur composition sous la Constitution de 1795, V, i31, 132 ; mesures du Directoire les concernant à la fin de 1797, 436.

Assemblées de villages. Leur persistance jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, I, 224.

Assermentés (Prêtres), 636 et sq ; comment ils sont persécutés en Vendée, 1, 650 ; la Révolution est peu sûre d’eux à la fin de 92 ; 111, 218 ; la défiance croit entre elle et eux, 230, 254.

Assi. Son rôle au Creusot en 1870, X, 377 ; la deuxième grève du Creusot, 386 ; le troisième procès de l’Internationale, 390 ; élu à la Commune, XI, 308 ; 311 ; prisonnier, 447 ; son procès, 484 ; XII, 36.

Assignats. La bourgeoisie lyonnaise en combat le système, I, 426 ; leur établissement, 456 et sq ; comment la Constituante les affranchit des billets de la Caisse d’Escompte, 459 ; décret du 21 décembre 1789, 459 ; ils deviennent papier-monnaie à cours forcé, 462 ; doivent-ils porter intérêt ? 464 et sq ; comment la Constituante assure leur emploi et leur circulation, 468 ; extension des assignats, en août 1790, 469 ; leur léger discrédit en 1791, 604 ; ce que Louis XVI voulait en faire, s’il avait réussi sa fuite, 693 et sq ; coup de fouet qu’ils donnent à la production et aux échanges. II, 997 ; leur crédit n’est pas sérieusement ébranlé en 1792, 1018 ; il y a cependant quelques points noirs, 1019 ; utilité de ce moyen d’échange, même après la disparition du gage, 1020 ; création des petites coupures, 1023 ; leur rapport en 1792 avec les valeurs étrangères ; cause de la baisse du change, 1024 et sq ; ce discrédit marque la différence du niveau révolutionnaire entre la France et les autres peuples,