ministre de la justice en 1815, VII, 80 ; 107.
Barbès (Armand), VIII, 260 ; 278 ; 286 ; 287 ; son caractère, 288 ; le complot de la rue de Lourcine, 288 ; son rôle au 12 mai 1839 ; 334 et sq ; condamné à mort, 351 ; sa grâce, 351 ; IX, 19, 22, 24, 3a, 33, 36, 50. 5i ; son rôle au 15 mai 1848 : 52, 54, 57, 78, 133 ; à Belle-lsle, 218, 236, 270 ; X, 80 ; sa délivrance, 84.
Barbier, tourneur. Un des soixante, X, 224.
Barclay de Tolly, général. Son rôle dans la campagne de Russie, VI, 391 et sq.
Bardoux, XII, 164.
Barennes, procureur. Syndic de Bordeaux, I, 413.
Barentin, garde des Sceaux. Ne sait résoudre la question du vote aux états-généraux, 1, 234.
Barère (de Vieuzac). Proteste contre le marc d’argent pour la bourgeoisie moyenne et les intellectuels, 1, 390 ; 111, 190 : veut pallier la défaite de la Gironde, 429 ; président de la Convention au procès du roi, IV, 871 ; il définit le procès du roi : un acte de salut public, 916 ; il était « l’homme de la Convention », 918 ; son caractère, comment il s’identifie parfois avec la Révolution, 920 ; influence qu’il eut sur le procès du roi, 922 ; 934 ; 943 ; 964 ; 998 ; 1024 ; 1119 ; 1122 ; 1123 ; 1124 ; 1138 ; 1162 ; son attitude en mars 93 et ses insinuations contre les Montagnards, 1 166 ; ses accusations contre Danton, 1173 ; ses deux faces, 1175 ; 1201 ; 1204 ; son rapport sur le recrutement, 1223 ; 1265 ; 1309 ; 1359 ; 1377 ; 1409 ; 1433 ; il demande la suspension des députés accusés par le peuple, le 2 juin, 1442 ; proteste contre l’investissement de la Convention, 1443 ; propose la sortie de la Convention, 1444 ; son équilibre en matière sociale, 1546 et sq ; 1550 ; son rapport du 6 juin 1793, 1592 ; 1624 ; 1644 ; 1674 ; membre du Comité de Salut public, 1681 ; 1683 ; 1690 ; 1724 ; 1808 ; 1814 ; 1816 ; V, 1 ; 26 ; 42 ; 72 ; 88 ; son arrestation et son évasion, 96 ; 148 ; 200 ; 355 ; élu en 1797 et exclu des Cinq-Cents, 371 ; il se rallie à Bonaparte, VI, 25 ; 46 ; 145 ; 146 ; IX, 258.
Barnave. Son Introduction à la Révolution française montre la conscience qu’eut la Révolution du mouvement économique, et donne comme une première esquisse des théories marxistes, I, 98 ; 103 ; il devance Saint-Simon dans son commentaire du mouvement économique anglais et français au XVIIIe siècle, 102 ; il montre comment le développement de la propriété mobilière a fait de la Révolution une nécessité historique, 104 ; et, revenant au passé, comment la Réforme même fut une conséquence du même mouvement, 106 ; il note l’activité industrielle sous la Révolution, 132 ; son portrait, 373 ; il veut que la nation seule ait le droit de guerre, 376 ; défenseur passionné des grands colons en 1790, 564 ; son projet de décret colonial, 564 ; son incapacité quand les difficultés en surgissent, 568 ; en 1791, il renie son propre décret, 570 ; il propose la déchéance des députés prêtres réfractaires, 635 ; 644 ; vrai chef de la bourgeoisie dans la crise de la fuite à Varennes. 707 et sq ; envoyé à la rencontre du roi, après la fuite, 711 ; son état d’esprit au retour et ses idées politiques, 712-714 ; son dessein d’achever la Révolution, 714 ; il note l’entrée des éléments prolétariens dans la Révolution, après Varennes, 726 ; théoricien des classes moyennes dans la revision de la Constitution, précurseur de Royer-Collard et de Guizot, 736 ; sa thèse sur le droit de suffrage, 736 et sq ; sa haine des nouvelles couches bourgeoises, 738 ; il défend les Comités, 739 ; indique la tendance bourgeoise de la Révolution à la fin de 1791, 748 : 752 ; ses relations avec la cour à la fin de 1791, II, 827 et sq ; pourquoi il se tait sur la loi du 29 novembre 1791 ; il désapprouve la politique de guerre et rentre dans ses foyers, 879 ; conseiller de la reine, en janvier 1792, 898 et sq ; sa retraite, 900 ; 988 ; il envoie, de Grenoble, une réponse a Guadel, 993 ; arrêté, III, 47 ; sa mort, IV, 1682 ; IX, 236.
Barneville, inventeur d’une machine à filer, V, 244.
Barni, philosophe républicain. X, 48 ; 89.
Baroche, IX, 196 ; 201 ; 222 ; 310 ; 353 ; X, 32 ; préside le Conseil d’État en 1852, 38 ; 43.
Barodet, maire de Lyon. Sa lutte contre la préfecture, XII, g5et sq ; élu à Paris, 97.
Barra. Un des soixante, X, 225.
Barradière, carbonaro, VII. 175.
Barrail (Général du), XI, 424.
Barras, député à la Convention, IV, 1716 ; 1726 ; 1812 ; son rôle au 9 thermidor, 1819 et sq ; V, 139 ; ses relations avec Bonaparte, 143 ; élu directeur, refuse, 282 ; 314 ; ses Mémoires, 342, 415, 436 ; ses relations avec Germain, 316 et sq ; son rôle de provocateur dans l’affaire de Grenelle, 324 ; 368 ; Mémoires, 404 ; se tourne contre les réacteurs, 411 ; 42 ; veut engager Hoche contre les Conseils, 414 ; son jeu au 30 prairial, 530 et sq ; 533 ; 539 ; inquiet des menées jacobines, il se rejette vers les modérés en 1799, 542 ; ses intrigues, 544 ; il suit Siéyes par intérêt, 544 ; Bonaparte ne veut pas s’allier avec lui, 568, 569 ; son attitude en face des préparatifs de coup d’État, 570 ; sa démission au 18 brumaire, 583.
