Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/36

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la Commune, 415 ; sa proposition d’amnistie, XII, 43 ; 138 ; sa proposition de dissolution de l’Assemblée nationale, 168 ; 174 ; 183 ; 196 ; président de la Chambre, 239 ; son ministère en 1885, 242 ; finde son ministère, 247 ; 266 ; 282.

Brissot de Warville. Parle froidement des décrets du 4 août, I, 288 ; fait écho à Siéyès dans l’affaire des dîmes, 296 ; élu représentant de la Commune de Paris, le 1e août 1789, par le quartier des Filles-Saint-Thomas, 310, 311 ; il veut l’abolition de l’esclavage, 563 ; 564 ; incertitude de son idée républicaine en 1791 ; mais il pressent dès alors la guerre de propagande, 720 ; 726. Elu à la Législative, II, 791 ; il pose la question de la guerre, le 20 octobre 1791, à propos des émigrés, 796 et sq ; imprudence de ce discours : l’Europe ne menaçait pas alors la Révolution, 802 et sq ; son caractère et son ambition, 812 ; 831 ; sa réponse à Narbonne, 881 ; son discours du 29 décembre 1791, 882 ; idée de la guerre révolutionnaire, 883 ; son audace grandit, il veut étendre la lutte à toute l’Europe, 884 ; son discours aux Jacobins, 890 ; flottements de sa pensée, 891 ; sa thèse belliqueuse procédait d’un manque de confiance en la Révolution, 891 ; le 17 janvier 1792, il saisit l’occasion de la note de l’empereur pour pousser à la guerre avec un parti pris cynique, 902 ; il répond à Daverhoult, 908 : il triomphe de la réponse de l’Empereur, 933 ; ses contradictions et son orgueil, 935 ; il demande la mise en accusation de Delessart, 938 ; son action dans la constitution du ministère girondin, 944 ; g58 ; insiste pour avoir un débat colonial, 962 ; son intervention le 1er décembre 1791 contre les colons de Saint-Domingue et son analyse magistrale de la situation, 971 et sq ; quelques réserves, 975 ; en particulier ses propositions violentes ne tranchent pas la question essentielle de l’esclavage, 975 ; son effort pour séparer les négociants et les colons dans les affaires coloniales, 980 ; 980 ; 995 ; son altitude dans la crise du prix du sucre en janvier 1792, 1013 ; il soutient les projets de Clavière, 1022 ; proteste contre toute idée de distinguer deux classes dans le tiers-état, 1047 ; son rôle de ministre occulte, 1164 ; il désavoue Dumouriez, 1194 ; attaque l’intervention de La Fayette, 1202 ; 1244 ; 1253 ; i312 ; son jugement sur la Législative, 1315.

Il lutte avec Robespierre sur la question d’un tribunal révolutionnaire, III, 22 et sq ; proteste contre les menées électorales des robespierristes, 33 ; 41 ; 44 ; son attitude pendant les massacres de septembre, 56 ; perquisitionné le 3 septembre, 60 ; ses articles sur les élections à la Convention, 99 ; 122 ; 129 ; 132 ; 210 ; sa réserve sur la question du budget des cultes, 233 ; 291 ; 299 ; 393 ; exclu des Jacobins, 398 ; veut anéantir Robespierre, 399 ; 425 ; 430 ; 434 ; 565, 566 ; son opinion sur les choses anglaises, 793 ; son rapport du 12 janvier 1793 sur la situation anglaise, 801 ; les correspondances du Patriote Français, 803 ; il sait à peu près les choses anglaises et ne s’oppose pas pourtant à tout ce qui peut tourner l’Angleterre contre la France, 804.

Ses arguments pour l’appel au peuple, IV, 895 ; 918 ; 945 ; 948 ; son discours découragé lors du vote sur la mort du roi, 950 ; son souci de l’Angleterre, 951 ; 957 ; 964 ; son idée de l’Egalité de fait, 1012 et sq ; son avis sur les événements de Lyon, 1068 ; 1073 ; comment il accueille les nouvelles de Belgique, 1087 ; 1089 ; 1122 ; 1134 ; 1138 ; dénoncé par les sections de Paris, 1199 ; 1304 et sq ; 1437 ; décrété d’arrestation le 2 juin, 1447 ; sa vie privée, 1449 ; sa mort, 1682 ; 1720.

Brochier, républicain marseillais, X, 153.

Broglie (Victor), général, II, 1250 ; 1309.

Broglie (Victor-François de). Ses hésitations le 14 juillet 1789, I, 268.

Broglie (Achille-Victor de), VII, 99 ; 208 ; ministre en 1830, VIII, 22 ; se retire du ministère, 32 : ministre le 11 octobre 1832, 217 ; sa politique extérieure, 222 ; les affaires orientales. 222 ; sa chute du ministère, 272 ; revient au ministère en 1834, 273 ; 275 ; 425 ; IX, 127 ; 142 ; 190 ; 198.

Broglie (Victor-Albert de), XII, 72, 73 ; mène la lutte contre Thiers le 23 mai 1874, 100 et sq ; ministre des Affaires étrangères, 107 ; 117 ; son impuissance au ministère, 137 ; sa chute, 139 : 156 ; 168 ; 169 ; redevient chef de l’oppostion, 198 ; forme le cabinet du 16 mai, 203 ; 209 ; doit se retirer après avoir tenté de lutter, 210.

Brongniart, directeur de Sèvres, VI, 297.

Bronze (Ouvriers du). Leur Société coopérative en 1850, IX, 276 ; la grève de 1867 à Paris, X, 304 ; état de l’industrie du Bronze après la Commune, XI, 489.

Brosset, serrurier à Genève ; son rôle dans l’Internationale, X, 319.

Brothier (Abbé), agent royaliste, V, 106 et sq ; 302 et sq ; son complot, 364 ; déporté après le 18 fructidor, 424.

Brotteaux (les). Quartier de Lyon, VIII, 144 et sq.

Broussais. Ses travaux scientifiques, VI, 301.

Brousse (Paul), XII, 254.

Brousse Deslaucherets. Elu représentant de la Commune de Paris, le 1er août 1789, I, 310.

Brousse. Signe une adresse au roi