Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/48

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let 1871, XII, 17 ; 183 ; défend l’élection de Blanqui, 226 ; rompt avec Gambetta, son programme de Marseille, 228 ; 233 ; 252 ; son rôle dans la grève de Carmaux, 262 ; 267.

Clément, cordonnier, ses idées révolutionnaires, X, 165.

Clément (Em.). Élu à la Commune, XI, 308 ; 430.

Clément (J. -B.). Élu à la Commune, XI, 308 ; 311 ; 313 ; 386 ; 430 ; 463 ; 466 ; XII, 208.

Clément (Victor). Élu à la Commune, XI, 308 ; 430 ; 431 ; 439 ; 484 ; 487 ; XII, 36.

Clément de Ris. Nommé sénateur, VI, 51 ; enlevé, 158.

Clere, jésuite, sa mort, XI, 459.

Clerex, tailleur, babouviste, V, 305 ; 327.

Clergé (Cf. Église, Catholiques, Concordat, etc.). Ses droits électoraux pour les élections des États généraux favorisent l’influence de la plèbe ecclésiastique, 1, 150 ; d’où l’attitude révolutionnaire d’une partie de la représentation ecclésiastique, 150 ; la lutte entre le haut et le bas clergé va si loin que le bas clergé propose d’hypothéquer les biens ecclésiastiques, 174 ; se constitue en ordre distinct, 235 ; puis songe à négocier, 236 ; divisé contre lui-même, 239 ; le haut clergé propose de s’occuper des subsistances, 239 ; sa division, 242 ; le bas clergé décide, de se réunir au Tiers, le 19 juin 1789, 244 ; il y vient le 22, 246 ; comment sa propriété — et en particulier la dîme — est tort menacée au 4 août, 287 ; il proteste contre les mesures prises, 288 ; ses résistances aux assignats, 460 et sq ; attaqué par Hébert, II, 1053 ; état d’esprit où le placent les lois sur l’état-civil, le divorce, le projet de suppression du budget des cultes, III, 218 et sq ; comment il tente d’utiliser les troubles économiques en 1792, 320 et sq ; comment il tente de s’emparer de l’enseignement de 1794 à 1800, V, 191 ; son organisation d’après le Concordat, VI, 84 ; sa servilité sous le premier Empire, 370 ; ses prétentions en 1815, VII, 106 et sq ; mouvement contre lui en 1830, VIII, 36 ; son impopularité croissante en 1837, 335 ; son entente avec le Gouvernement, 336 ; reconquiert la bourgeoisie, 338 et sq ; gages que lui donne Louis-Philippe en 1841, 412 ; faveurs qu’il reçoit après le Coup d’État, IX, 226 ; les pétitions de 1871, XII, 26 ; son activité anti-républicaine en 1875, 176 ; la recrudescence d’agitation contre Jules Simon, 200.

Clermont-Ferrand (V.), IV, 1682 ; V, 429 ; VI, 20 ; VIII, 271.

Clermont-Gallerande, VI, 184.

Clermont-Tonnerre. S’oppose à ce qu’on reçoive la première délégation du peuple, I, 256.

Clermont-Tonnerre (de), VII, 227.

Clévilliers-le-Marteau (V.). Proteste contre la concentration capitaliste du fermage, I, 216.

Clinchant, général, la guerre de Paris, XI, 449 et sq.

Clisson (V.), IV, 1146 ; entrevue entre les chefs vendéens et les représentants en mission, V, 63.

Cloche (La), X, 329.

Clodion. sculpteur, V, 224.

Clootz (Anacharsis). Il critique en grand banquier la loi agraire de Momoro et Dufour, III, 143 et sq ; IV, 929 ; ses idées sur l’organisation politique unitaire de la planète, 1512 et sq ; elles sont excentriques à la Révolution, 1512 ; ses idées essentielles ; universalité des Droits de l’Homme, unité physique de la terre, unité de l’Humanité, 1513 et sq ; ce n’est pas un rêveur, 1521 ; mais il a posé et non résolu le problème, 1522 ; ses idées sociales, 1524 et sq ; sa confiance dans l’avenir, 1527 ; 1707 ; sa politique de guerre en I793 ; il va à l’hébertisme par esprit de système, 1721 et sq ; rejeté des jacobins, 1737 ; adjoint aux Hébertistes arrêtés, 1764 ; sa mort, 1766.

Clôture (Edit de), 1766 ; combattu par les paysans, I, 187.

Clubs. Leur activité en 1848, IX, 22 ; leur régime après 1848, 92 ; la guerre aux Clubs après décembre 48, 129.

Club de Clichy. Club royaliste, V 295 ; 354 ; prépare les élections en 1796, 364.

Club électoral. Reconstitué après le 9 thermidor, V, 24 et sq ; défendu par Babeuf, 30 ; expulsé de son local, 31 ; persécuté par la Convention, 37 ; ses papiers mis sous scellés, 38.

Club de l’Evêché (Cf. Evêché).

Club de la Révolution. Club de Barbés en 1848, IX, 24.

Cluseret, X, 324 ; signataire de l’affiche rouge, XI, 256 ; 342 ; appelé à l’administration de la guerre, 366 ; son rôle au ministère de la guerre du 2 au 30 avril 1871, 382 et sq ; son passé, 383 ; alors qu’il fallait les qualités les plus hautes pour détendre la Commune, il n’eut pour modèle que Trochu, 384 ; sa réorganisation de la garde nationale, 384 ; son impuissance, 385 ; son apathie et son indolence, 385 ; quelle fut sa culpabilité, 386 ; 388 ; son erreur sur la tactique à suivre, 395 ; accusé de trahison et arrêté, 427 ; 446 ; 451.

Cluses (V.), V, 258.

Coalitions (Cf. Grèves).

Coalition (Deuxième). Contre la France, comment elle est préparée, V, 498.